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Après le Grexit, le vocabulaire financier s’enrichit du Brexit et du Crexit

Les habitués des pages finance se souviennent du Grexit. C'était le terme pour désigner la sortie (ordonnée ou pas) de la Grèce de la zone euro. La menace n°1 de l'année 2012 qui finalement ne s'est pas réalisée grâce à un sursaut de dernière minute des responsables politiques et grâce à un soutien indéniable de la Banque Centrale Européenne (BCE).

Fort de cet échec, les financiers sont donc partis en quête de nouveaux termes à la mode pour désigner les angoisses des uns et des autres au sujet de la situation du Vieux-Continent. En l'espace de moins de quinze jours, le vocabulaire financier s'est enrichi de deux nouveaux mots: Brexit et Crexit.

Le premier est surtout utilisé par les médias américains comme CNBC qui organise régulièrement des débats sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union Européenne. C'est en effet l'idée que recouvre cet nouveau terme. Face à une opinion de plus en plus eurosceptique, le Premier ministre britannique David Cameron a décidé d'aller dans le sens du sentiment populaire dans la perspectives des élections de 2015 en proposant, sans qu'on ne sache bien ce que cela recouvre, de renégocier la relation du Royaume-Uni avec l'UE. Hier, il a précisé un peu sa pensée en affirmant qu'il n'organisera pas de référendum sur l'appartenance du pays à l'Union. On reste donc plutôt perplexe sur les intentions de Londres. Le discours que devrait prononcer le Premier ministre ce vendredi à partir des Pays-Bas sur ce thème devrait certainement éclaircir un peu la situation mais, dès à présent, on peut être certain qu'il n'y aura pas de grand chamboulement. Plutôt une renégociation de la contribution britannique à l'UE à la façon Thatcher.

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Les habitués des pages finance se souviennent du Grexit. C’était le terme pour désigner la sortie (ordonnée ou pas) de la Grèce de la zone euro. La menace n°1 de l’année 2012 qui finalement ne s’est pas réalisée grâce à un sursaut de dernière minute des responsables politiques et grâce à un soutien indéniable de la Banque Centrale Européenne (BCE).

Fort de cet échec, les financiers sont donc partis en quête de nouveaux termes à la mode pour désigner les angoisses des uns et des autres au sujet de la situation du Vieux-Continent. En l’espace de moins de quinze jours, le vocabulaire financier s’est enrichi de deux nouveaux mots: Brexit et Crexit.

Le premier est surtout utilisé par les médias américains comme CNBC qui organise régulièrement des débats sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne. C’est en effet l’idée que recouvre cet nouveau terme. Face à une opinion de plus en plus eurosceptique, le Premier ministre britannique David Cameron a décidé d’aller dans le sens du sentiment populaire dans la perspectives des élections de 2015 en proposant, sans qu’on ne sache bien ce que cela recouvre, de renégocier la relation du Royaume-Uni avec l’UE. Hier, il a précisé un peu sa pensée en affirmant qu’il n’organisera pas de référendum sur l’appartenance du pays à l’Union. On reste donc plutôt perplexe sur les intentions de Londres. Le discours que devrait prononcer le Premier ministre ce vendredi à partir des Pays-Bas sur ce thème devrait certainement éclaircir un peu la situation mais, dès à présent, on peut être certain qu’il n’y aura pas de grand chamboulement. Plutôt une renégociation de la contribution britannique à l’UE à la façon Thatcher.

L’autre nouveau terme du vocabulaire financier est tout récent puisqu’il date d’hier. La paternité du “Crexit” revient à l’économiste en chef d’Allianz, Michael Heise, qui l’a utilisé pour définir la sortie de crise dans la zone euro dans une tribune qu’il a publié au Financial Times. Les anglo-saxons ont immédiatement adoré! On peut cependant afficher un certain scepticisme face à l’optimisme de Mr Heise. C’est oublier en effet la crise économique et le défi que représente le chômage des jeunes que d’affirmer que nous sommes sortis de la crise.

A quand le Franxit afin de désigner la sortie de la France de l’union monétaire?

 

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