L’enquête Tankan est formulée par la Banque du Japon (BoJ). Il a été formulé la première fois en 1957 et constitue une vaste enquête portant sur l’évolution de l’activité des entreprises japonaises. Il est publié tous les trois mois, le 1er jour suivant la fin du trimestre, et concerne au total plus de 10 000 entreprises japonaises. Les entreprises interrogées sont classées en fonction de leur activité et de leur taille.
L’enquête Tankan dresse ainsi un tableau fidèle de l’économie dans l’archipel, en s’intéressant notamment aux perspectives d’investissement et d’embauche. Plusieurs points sont évoqués lors de cette enquête, notamment les conditions d’accès au crédit pour les entreprises ou encore les conditions financières et les capacités de production.
Cependant, c’est surtout le sentiment sur l’environnement économique qui fait l’objet de toute l’attention des marchés financiers. A certains égards, ce point se rapproche beaucoup de l’indice Ifo.
Si le sentiment sur l’environnement économique est positif, c’est-à-dire supérieur à 0, cela signifie que les entreprises japonaises considèrent que l’environnement économique s’améliore, ce qui laisse entrevoir une hausse des embauches et surtout de l’investissement. Si l’indice est inférieur à 0, à l’inverse, cela signifie que l’environnement économique se détériore et si il est égal à zéro, cela signifie qu’il n’y a pas de changement significatif.
L’enquête Tankan fait l’objet d’un écho assez important sur le marché des changes lors de sa publication. Toutefois, il ne faut pas exagérer son impact sur les changes et notamment sur le yen. En effet, le yen est surtout influencé par la politique monétaire de la BoJ et les stratégies de carry trade. Non pas réellement par les indicateurs macroéconomiques japonais.
L’enquête Tankan est formulée par la Banque du Japon (BoJ). Il a été formulé la première fois en 1957 et constitue une vaste enquête portant sur l’évolution de l’activité des entreprises japonaises. Il est publié tous les trois mois, le 1er jour suivant la fin du trimestre, et concerne au total plus de 10 000 entreprises japonaises. Les entreprises interrogées sont classées en fonction de leur activité et de leur taille.
L’enquête Tankan dresse ainsi un tableau fidèle de l’économie dans l’archipel, en s’intéressant notamment aux perspectives d’investissement et d’embauche. Plusieurs points sont évoqués lors de cette enquête, notamment les conditions d’accès au crédit pour les entreprises ou encore les conditions financières et les capacités de production.
Cependant, c’est surtout le sentiment sur l’environnement économique qui fait l’objet de toute l’attention des marchés financiers. A certains égards, ce point se rapproche beaucoup de l’indice Ifo.
Si le sentiment sur l’environnement économique est positif, c’est-à-dire supérieur à 0, cela signifie que les entreprises japonaises considèrent que l’environnement économique s’améliore, ce qui laisse entrevoir une hausse des embauches et surtout de l’investissement. Si l’indice est inférieur à 0, à l’inverse, cela signifie que l’environnement économique se détériore et si il est égal à zéro, cela signifie qu’il n’y a pas de changement significatif.
L’enquête Tankan fait l’objet d’un écho assez important sur le marché des changes lors de sa publication. Toutefois, il ne faut pas exagérer son impact sur les changes et notamment sur le yen. En effet, le yen est surtout influencé par la politique monétaire de la BoJ et les stratégies de carry trade. Non pas réellement par les indicateurs macroéconomiques japonais.