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La zone euro ira t-elle mieux ?

Avec la liste de problèmes que connaît la zone euro actuellement, il est surprenant d’entendre le gouverneur Draghi employer un ton optimiste lors de ses récents témoignages. Il a même utilisé l’expression « reprise durable ». Jetons un œil sur les derniers rapports pour voir s’il existe ou non des pousses vertes dans la région.

Inflation
Le niveau des prix de la plupart des économies ne s’est pas encore remis de la chute des cours du pétrole mais la zone euro a tout de même imprimé des chiffres d’IPC plus forts que prévu en février. L’inflation a, en effet, affiché une baisse annualisée de 0,3% alors qu’un recul de 0,5% était attendu. Les éléments du rapport révèlent que l’énergie et les coûts des transports ont été plus faibles sur la période tandis que les loyers et les niveaux des prix dans les restaurants ont affiché des gains. Selon le gouverneur de la BCE, le programme d’assouplissement quantitatif et la dépréciation continue de la monnaie unique devraient aider à soutenir l’inflation. Les principaux indicateurs comme le PPI, laissent, cependant, entendre que de nouvelles faiblesses pourraient apparaître.

Emploi
Les plus grandes économies de la région ont récemment imprimé des résultats plus forts que prévu en matière d’embauche. Des gains suffisants pour ramener le taux de chômage de la zone euro de 11,3% à 11,2%. L’Allemagne a, en effet, ajouté 20 000 emplois, soit deux fois plus que les estimations et l’Espagne a surpris les marchés en ajoutant 13 500 nouvelles embauches au lieu de ses pertes habituelles.
Pendant ce temps, l’Italie a amélioré sa situation en publiant un taux de chômage en baisse. En France, deuxième plus grande économie de la zone euro, le chômage a diminué pour la première fois depuis aout 2014, le taux d’inscription au chômage a ainsi diminué de 19 000.
Ces chiffres corroborent la pensée de Mario Draghi qui affirme que la baisse des prix du pétrole et de l’énergie devrait à terme se traduire par des dépenses plus fortes et stimuler la croissance économique globale. Cela dépend bien sûr de la croissance suffisante des salaires mais jusqu’à maintenant, la zone euro a imprimé un impressionnant rebond d’1,1% sur ses ventes au détail de janvier.
Zone euro forex
Avec la liste de problèmes que connaît la zone euro actuellement, il est surprenant d’entendre le gouverneur Draghi employer un ton optimiste lors de ses récents témoignages. Il a même utilisé l’expression « reprise durable ». Jetons un œil sur les derniers rapports pour voir s’il existe ou non des pousses vertes dans la région.

Inflation
Le niveau des prix de la plupart des économies ne s’est pas encore remis de la chute des cours du pétrole mais la zone euro a tout de même imprimé des chiffres d’IPC plus forts que prévu en février. L’inflation a, en effet, affiché une baisse annualisée de 0,3% alors qu’un recul de 0,5% était attendu. Les éléments du rapport révèlent que l’énergie et les coûts des transports ont été plus faibles sur la période tandis que les loyers et les niveaux des prix dans les restaurants ont affiché des gains. Selon le gouverneur de la BCE, le programme d’assouplissement quantitatif et la dépréciation continue de la monnaie unique devraient aider à soutenir l’inflation. Les principaux indicateurs comme le PPI, laissent, cependant, entendre que de nouvelles faiblesses pourraient apparaître.

Emploi
Les plus grandes économies de la région ont récemment imprimé des résultats plus forts que prévu en matière d’embauche. Des gains suffisants pour ramener le taux de chômage de la zone euro de 11,3% à 11,2%. L’Allemagne a, en effet, ajouté 20 000 emplois, soit deux fois plus que les estimations et l’Espagne a surpris les marchés en ajoutant 13 500 nouvelles embauches au lieu de ses pertes habituelles.
Pendant ce temps, l’Italie a amélioré sa situation en publiant un taux de chômage en baisse. En France, deuxième plus grande économie de la zone euro, le chômage a diminué pour la première fois depuis aout 2014, le taux d’inscription au chômage a ainsi diminué de 19 000.
Ces chiffres corroborent la pensée de Mario Draghi qui affirme que la baisse des prix du pétrole et de l’énergie devrait à terme se traduire par des dépenses plus fortes et stimuler la croissance économique globale. Cela dépend bien sûr de la croissance suffisante des salaires mais jusqu’à maintenant, la zone euro a imprimé un impressionnant rebond d’1,1% sur ses ventes au détail de janvier.


Conjoncture économique

Les dernières lectures du PMI dressent un portrait mitigé de la conjoncture économique. La fabrication semble s’être affaiblie alors que les services ont montré une reprise de l’activité. Le PMI manufacturier allemand a stagné à 50,9 au lieu de s’améliorer et le PMI français a plongé de 49,2 à 47,7 ce qui indique une nette contraction de l’industrie.
Concernant les services, les chiffres allemands ont grimpé pour passer de 54 à 55,5 en février et les données françaises également puisque l’indice PMI est passé de 49,3 à 53,4. Cependant, d’autres économies comme l’Espagne et l’Italie continuent de publier des chiffres négatifs pour le secteur des services.
Concernant la production, les rapports relatifs à la balance commerciale suggèrent que la demande extérieure ne s’améliore pas. La France, l’Allemagne et l’Italie ont tous trois publié des résultats plus faibles que prévu bien que Draghi ait souligné que la baisse de l’euro devrait rendre les produits de la région plus compétitifs au niveau du commerce international.

Sentiment général
Les consommateurs et les hommes d’affaires de la zone euro semblent partager les perspectives optimistes du gouverneur Draghi. L’indice ZEW allemand qui mesure la confiance a, en effet, grimpé de 53 à 54,8 et celui de la zone euro en général est passé de 52,7 à 62,4. Cela montre bien que les investisseurs sont impatients de voir les conditions de la zone euro s’améliorer.

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