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Le monde sort-il de la crise économique?

On ne cesse de la rappeler, dans les pays développés, on connait un arbitrage entre inflation et chômage hérité de la boîte à outil keynésienne. Quoique dépassé dans certaines conditions, le principe de base reste vrai: combattre le chômage à travers une politique monétaire accommodante est censé être efficace puisqu’il permet la relance d’activité. Tandis que le chômage se résorbe indéniablement dans de nombreux pays, l’affirmation est plus délicate dans d’autres territoires.

Pour commencer avec les récentes annonces américaines, outre Atlantique, les Etats-Unis affichent fièrement des indicateurs d’emploi vert, c’est-à-dire non seulement meilleur que les précédents mais aussi supérieurs aux attentes, soutenant un dollar à la hausse face aux autres devises. Rien qu’aujourd’hui, on notera que 331 000 américains ont revendiqué des allocations chômage, soit un millier de moins que prévu, et six milliers de moins que le mois précédent. Plus près de nous, outre-Manche, le Royaume-Uni affiche des chiffres excellents de chômage (sous les 8%) et envisage même de diminuer son objectif chômage pour remonter ses taux bancaires, confirmant une reprise économique indéniable.

En revanche, le paysage de l’emploi est à bien plus nuancer du côté européen. Tandis que l’Allemagne s’en sort avec un score tout à fait honorable, quoique discutable: 6.8%. La France préserve son chômage traditionnellement haut: 10.4%. Ces deux moteurs européens, quoique pondérant indéniablement la production européenne, voient aussi leur population victime d’une crainte du chômage. Les analyses psychologiques effectuées sur le monde du travail montrent que le chômage est craint même par les insiders, en ces temps où l’on affiche, indignés, le chômage grec et espagnol. La crainte est d’autant plus importante chez les jeunes que les chiffres sont impressionnants: 58% et 55.8% pour la Grèce et l’Espagne chez les moins de 24 ans au premier trimestre 2013.

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On ne cesse de la rappeler, dans les pays développés, on connait un arbitrage entre inflation et chômage hérité de la boîte à outil keynésienne. Quoique dépassé dans certaines conditions, le principe de base reste vrai: combattre le chômage à travers une politique monétaire accommodante est censé être efficace puisqu’il permet la relance d’activité. Tandis que le chômage se résorbe indéniablement dans de nombreux pays, l’affirmation est plus délicate dans d’autres territoires.

Pour commencer avec les récentes annonces américaines, outre Atlantique, les Etats-Unis affichent fièrement des indicateurs d’emploi vert, c’est-à-dire non seulement meilleur que les précédents mais aussi supérieurs aux attentes, soutenant un dollar à la hausse face aux autres devises. Rien qu’aujourd’hui, on notera que 331 000 américains ont revendiqué des allocations chômage, soit un millier de moins que prévu, et six milliers de moins que le mois précédent. Plus près de nous, outre-Manche, le Royaume-Uni affiche des chiffres excellents de chômage (sous les 8%) et envisage même de diminuer son objectif chômage pour remonter ses taux bancaires, confirmant une reprise économique indéniable.

En revanche, le paysage de l’emploi est à bien plus nuancer du côté européen. Tandis que l’Allemagne s’en sort avec un score tout à fait honorable, quoique discutable: 6.8%. La France préserve son chômage traditionnellement haut: 10.4%. Ces deux moteurs européens, quoique pondérant indéniablement la production européenne, voient aussi leur population victime d’une crainte du chômage. Les analyses psychologiques effectuées sur le monde du travail montrent que le chômage est craint même par les insiders, en ces temps où l’on affiche, indignés, le chômage grec et espagnol. La crainte est d’autant plus importante chez les jeunes que les chiffres sont impressionnants: 58% et 55.8% pour la Grèce et l’Espagne chez les moins de 24 ans au premier trimestre 2013.

On pourrait s’attendre que les pays émergents subissent le contrecoup de la reprise occidentale (américaine notamment) qui entraîne l’afflux de capitaux des pays émergents aux pays développés. Si le phénomène a bien lieu, il ne s’exprime que sur le forex. En effet, en ce qui concerne la sphère réelle, les pays occidentaux importent énormément dans le cadre de leur reprise de sorte que le recrutement est quasi immédiat. C’est ainsi qu’il y a une semaine, on voyait au Brésil pour la première fois depuis le début de la crise un taux de chômage à la baisse (5.6%).

En termes de population mondiale, le chômage s’élève à 201.5 millions d’individus sans emploi et qui en recherchent, soit près de 6% de la population active mondiale au sens du Bureau International du Travail (BIT). Dans un monde qui s’est voulu et s’est proclamé libéral, on est encore loin d’une allocation optimale des ressources.
 

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