Ce n’est que le début d’un mea culpa mais il a au moins le mérite d’exister. En effet, sur son site internet, la banque d’affaires a publié un communiqué de presse concernant sa gestion de la dette grecque. Dans ce communiqué, Goldman Sachs a reconnu que sa gestion aurait pu être plus « transparente » mais a toutefois minimisé son action, soulignant que nombre d’autres Etats européens ont utilisé de tels procédés au début des années 90 et au début des années 2000.
