Bonne nouvelle pour la France et pour le marché obligataire français en pleine crise de la dette des Etats en Europe. En effet, selon la Banque de France, la différence entre les recettes et les dépenses s’est élevée à 56,2 milliards d’euros fin avril contre 71,6 milliards un an plus tôt.
Par ailleurs, l’institution a réaffirmé sa prévision de croissance pour le deuxième trimestre à 0,5%.