Le Premier ministre irakien Nuri al-Maliki a défendu la décision d’une cours de justice qui place de très nombreuses institutions, comme la banque centrale irakienne, sous le contrôle des ministères. Le Premier ministre a affirmé que cette décision ne peut pas être remise en question mais elle inquiète vivement les organisations internationales et aussi les défenseurs des Droits de l’Homme qui craignent une remise en cause dans la pratique de l’indépendance de la banque centrale.
Parmi les autres institutions mises sous tutelle figurent aussi l’agence anti-corruption et la commission des Droits de l’Homme.