Vendredi dernier, les bourses mondiales ont fini sur une note positive suite à l’annonce de la démission du président égyptien Moubarak. La Bourse de Londres gagnait ainsi 0.71% tandis que la Bourse de Paris accusait une hausse moins importante de 0.15%. La Bourse de New York a fini également positivement, le Dow Jones en hausse de 0.38% et le Nasdaq en progression de 0.68%.
Au niveau des indicateurs macroéconomiques, le seul indicateur d’importance fut la confiance des consommateurs de l’Université du Michigan qui a atteint son niveau le plus élevé depuis juin à 75.1. Pour autant, ce chiffre a déçu puisque les investisseurs s’attendaient à une hausse plus marquée à 75.5.
Sur le marché des changes, l’euro a fini en baisse face au dollar, évoluant à 1.3538 dollar vers 18h vendredi dernier. La baisse de l’euro fut aussi importante face au yen, principalement en raison de la fragilité financière des pays de la zone euro. Les investisseurs craignent que les dirigeants européens soient dans l’incapacité de mettre en place un mécanisme permanent de gestion de crise avant la fin du mois de mars, ce qui pourrait entraîner d’importantes difficultés financières au Portugal.
Vendredi dernier, les bourses mondiales ont fini sur une note positive suite à l’annonce de la démission du président égyptien Moubarak. La Bourse de Londres gagnait ainsi 0.71% tandis que la Bourse de Paris accusait une hausse moins importante de 0.15%. La Bourse de New York a fini également positivement, le Dow Jones en hausse de 0.38% et le Nasdaq en progression de 0.68%.
Au niveau des indicateurs macroéconomiques, le seul indicateur d’importance fut la confiance des consommateurs de l’Université du Michigan qui a atteint son niveau le plus élevé depuis juin à 75.1. Pour autant, ce chiffre a déçu puisque les investisseurs s’attendaient à une hausse plus marquée à 75.5.
Sur le marché des changes, l’euro a fini en baisse face au dollar, évoluant à 1.3538 dollar vers 18h vendredi dernier. La baisse de l’euro fut aussi importante face au yen, principalement en raison de la fragilité financière des pays de la zone euro. Les investisseurs craignent que les dirigeants européens soient dans l’incapacité de mettre en place un mécanisme permanent de gestion de crise avant la fin du mois de mars, ce qui pourrait entraîner d’importantes difficultés financières au Portugal.