Hier fut publié le rapport de la Banque d’Angleterre sur l’inflation, rapport particulièrement attendu par les cambistes.
Le constat de l’institut d’émission est simple: l’inflation core est toujours largement au-dessus de la cible de 2% et la croissance de la production est toujours aussi faible.
L’inflation est la préoccupation principale de la banque centrale anglaise. Il y a encore quelques mois, Mervyn King s’attendaient à ce que l’inflation commence à décroitre vers le milieu de l’année en cours pour retrouver un rythme proche de 2% en fin d’année. Cependant, du fait de la hausse des prix de l’énergie, les prévisions de la BoE ont dû être revue. En fait, l’inflation pourrait aisément grimper jusqu’à 5% en fin d’année et rester jusqu’en 2013 au-dessus de la cible de 2%.
Quid désormais d’un relèvement des taux pour contrer une telle hausse des prix.
La seule bonne nouvelle est que le Royaume-Uni continue de profiter des mesures de relance et surtout de la reprise de l’économie mondiale. Ces deux facteurs devraient, selon la banque centrale, soutenir sur le moyen terme la livre sterling.
Aucun espoir cependant au niveau du PIB qui ne devrait pas connaître un rebond très significatif en raison de la baisse continue des revenus réels des ménages britanniques.
C’est un Royaume-Uni en phase de transition et attentiste dont le rapport de la BoE a dressé le portrait.
Hier fut publié le rapport de la Banque d’Angleterre sur l’inflation, rapport particulièrement attendu par les cambistes.
Le constat de l’institut d’émission est simple: l’inflation core est toujours largement au-dessus de la cible de 2% et la croissance de la production est toujours aussi faible.
L’inflation est la préoccupation principale de la banque centrale anglaise. Il y a encore quelques mois, Mervyn King s’attendaient à ce que l’inflation commence à décroitre vers le milieu de l’année en cours pour retrouver un rythme proche de 2% en fin d’année. Cependant, du fait de la hausse des prix de l’énergie, les prévisions de la BoE ont dû être revue. En fait, l’inflation pourrait aisément grimper jusqu’à 5% en fin d’année et rester jusqu’en 2013 au-dessus de la cible de 2%.
Quid désormais d’un relèvement des taux pour contrer une telle hausse des prix.
La seule bonne nouvelle est que le Royaume-Uni continue de profiter des mesures de relance et surtout de la reprise de l’économie mondiale. Ces deux facteurs devraient, selon la banque centrale, soutenir sur le moyen terme la livre sterling.
Aucun espoir cependant au niveau du PIB qui ne devrait pas connaître un rebond très significatif en raison de la baisse continue des revenus réels des ménages britanniques.
C’est un Royaume-Uni en phase de transition et attentiste dont le rapport de la BoE a dressé le portrait.