C’est un livre que les conseillers en communication de la Maison Blanche font tout pour décrédibiliser, à défaut de pouvoir empêcher sa sortie. Depuis le 20 septembre dernier, les américains ont la chance de pouvoir lire “Confidence Men: Wall Street, Washington and the Education of a President” écrit par le vainqueur du Prix Pulitzer, Ron Suskind. Disponible sur Amazon et les autres sites de vente en ligne, aucune date de sortie en France de l’ouvrage n’est pour l’instant connue.
Dans ce livre polémique qui raconte les premiers mois du président Obama à la Maison Blanche, la nouvelle administration essayant de gérer la crise des supprimes, c’est un président en manque de qualités managériales qui transparait au cours des différentes pages.
Au lieu d’un centre de crise, “la politique intérieure de l’administration (Obama) est rapidement devenu une société de débats dirigées par Larry Summers” qui était alors l’éminence grise du président, selon Suskind.
Au delà de l’initiation d’un homme politique à la machine fédérale, qui souligne l’inexpérience et le manque d’organisation du président, cet ouvrage fait quelques révélations choc, notamment sur la gestion de la crise des supprimes. Selon Suskind, le président Obama aurait demandé au Secrétaire au Trésor, Tim Geithner, de préparer un plan de démantèlement de Citigroup en pleine crise, ordre qui n’aurait jamais été appliqué par le principal concerné.
La banque, qui faisait partie des établissements financiers “too big to fail”, fut l’une des principales victimes de la crise. Suite à une chute des actions du groupe de plus de 70% le 23 novembre 2008, le gouvernement fédéral fut contraint d’intervenir en urgence en garantissant plus de 300 milliards de dollars de ses actifs en échange d’une participation dans l’entreprise. C’est justement à ce moment là que le président aurait demandé à son secrétaire au Trésor d’envisager un démantèlement du groupe, ce dernier faisant peser trop de risques sur le système financier américain.
Quelques jours avant la sortie du livre outre-Atlantique, cette information avait déjà été communiquée dans la presse, contraignant Tim Geithner a nié catégoriquement ces allégations.
L’avis de forex.fr: Un excellent ouvrage qui permet de s’immiscer au centre du pouvoir américain au moment crucial de la prise de fonction d’un nouveau président, souvent étiqueté par ses adversaires comme inexpérimenté, et à un moment unique de l’histoire, lors de la crise économique et financière de 2008.
C’est un livre que les conseillers en communication de la Maison Blanche font tout pour décrédibiliser, à défaut de pouvoir empêcher sa sortie. Depuis le 20 septembre dernier, les américains ont la chance de pouvoir lire “Confidence Men: Wall Street, Washington and the Education of a President” écrit par le vainqueur du Prix Pulitzer, Ron Suskind.
Disponible sur Amazon et les autres sites de vente en ligne, aucune date de sortie en France de l’ouvrage n’est pour l’instant connue.
Dans ce livre polémique qui raconte les premiers mois du président Obama à la Maison Blanche, la nouvelle administration essayant de gérer la crise des supprimes, c’est un président en manque de qualités managériales qui transparait au cours des différentes pages.
Au lieu d’un centre de crise, “la politique intérieure de l’administration (Obama) est rapidement devenu une société de débats dirigées par Larry Summers” qui était alors l’éminence grise du président, selon Suskind.
Au delà de l’initiation d’un homme politique à la machine fédérale, qui souligne l’inexpérience et le manque d’organisation du président, cet ouvrage fait quelques révélations choc, notamment sur la gestion de la crise des supprimes. Selon Suskind, le président Obama aurait demandé au Secrétaire au Trésor, Tim Geithner, de préparer un plan de démantèlement de Citigroup en pleine crise, ordre qui n’aurait jamais été appliqué par le principal concerné.
La banque, qui faisait partie des établissements financiers “too big to fail”, fut l’une des principales victimes de la crise. Suite à une chute des actions du groupe de plus de 70% le 23 novembre 2008, le gouvernement fédéral fut contraint d’intervenir en urgence en garantissant plus de 300 milliards de dollars de ses actifs en échange d’une participation dans l’entreprise. C’est justement à ce moment là que le président aurait demandé à son secrétaire au Trésor d’envisager un démantèlement du groupe, ce dernier faisant peser trop de risques sur le système financier américain.
Quelques jours avant la sortie du livre outre-Atlantique, cette information avait déjà été communiquée dans la presse, contraignant Tim Geithner a nié catégoriquement ces allégations.
L’avis de forex.fr:
Un excellent ouvrage qui permet de s’immiscer au centre du pouvoir américain au moment crucial de la prise de fonction d’un nouveau président, souvent étiqueté par ses adversaires comme inexpérimenté, et à un moment unique de l’histoire, lors de la crise économique et financière de 2008.