Ancien de Yale et d’Oxford, Jim Rogers (ci-contre) est l’ancien partenaire en affaires de George Soros. Comme ce dernier, après que leur trajectoire ait divergé au début des années 80, il est devenu l’un des investisseurs les plus écoutés par les marchés.
Dans une interview à Economic Times, à l’instar de Soros, il a distillé prudemment ses conseils sur l’évolution future des marchés financiers. Un point de vue qui va certainement en frapper plus d’un.
Clairement, Jim Rogers est bullish sur le long terme sur les matières premières, partant tout simplement du constat qu’elles sont épuisables. Selon lui, l’or et l’argent vont continuer d’augmenter dans les prochaines années, tandis que les prix du baril suivront une tendance similaire et que le sucre pourrait même tripler d’ici à cinq ans.
Cependant, force est de constater que l’achat de matières premières n’est pas propice en ce moment du fait de la crise, à moins d’avoir une vision d’investissement sur plusieurs années ce que n’ont pas très souvent les particuliers.
Pour se consolider, Jim Rogers leur laisse toutefois une porte de sortie en achetant les matières premières agricoles en ce moment. “Je ne suis pas en train de penser à acheter des métaux de base, de l’or ou du pétrole en ce moment, mais je pense acheter des matières premières agricoles peut être cet après-midi. C’est là où la demande va aller en premier. Ensuite vers les métaux précieux puis le reste des matières premières” a-t-il confié.
L’analyse de Rogers, qui s’est fait connaître ces dernières années pour sa maîtrise du marché des matières premières, reflète une réalité souvent esquissée par les médias. L’agriculture connait des problèmes très sérieux où l’économie est en train de ralentir, ce qui se traduit déjà par des pénuries dans certaines parties du monde. Mais aussi par des suicides et une augmentation des crimes violents comme l’a souligné Rogers.
Indéniablement, Rogers a de bonnes raisons de penser que les prix de l’agriculture vont augmenter dans les prochaines années. Dernier conseil d’un pro : pour les autres marchés, “je reste attentif à l’évolution des marchés et de l’économie mondiale avant de me décider”. Un conseil à méditer pour les novices.
Ancien de Yale et d’Oxford, Jim Rogers (ci-contre) est l’ancien partenaire en affaires de George Soros. Comme ce dernier, après que leur trajectoire ait divergé au début des années 80, il est devenu l’un des investisseurs les plus écoutés par les marchés.
Dans une interview à Economic Times, à l’instar de Soros, il a distillé prudemment ses conseils sur l’évolution future des marchés financiers. Un point de vue qui va certainement en frapper plus d’un.
Clairement, Jim Rogers est bullish sur le long terme sur les matières premières, partant tout simplement du constat qu’elles sont épuisables. Selon lui, l’or et l’argent vont continuer d’augmenter dans les prochaines années, tandis que les prix du baril suivront une tendance similaire et que le sucre pourrait même tripler d’ici à cinq ans.
Cependant, force est de constater que l’achat de matières premières n’est pas propice en ce moment du fait de la crise, à moins d’avoir une vision d’investissement sur plusieurs années ce que n’ont pas très souvent les particuliers.
Pour se consolider, Jim Rogers leur laisse toutefois une porte de sortie en achetant les matières premières agricoles en ce moment. “Je ne suis pas en train de penser à acheter des métaux de base, de l’or ou du pétrole en ce moment, mais je pense acheter des matières premières agricoles peut être cet après-midi. C’est là où la demande va aller en premier. Ensuite vers les métaux précieux puis le reste des matières premières” a-t-il confié.
L’analyse de Rogers, qui s’est fait connaître ces dernières années pour sa maîtrise du marché des matières premières, reflète une réalité souvent esquissée par les médias. L’agriculture connait des problèmes très sérieux où l’économie est en train de ralentir, ce qui se traduit déjà par des pénuries dans certaines parties du monde. Mais aussi par des suicides et une augmentation des crimes violents comme l’a souligné Rogers.
Indéniablement, Rogers a de bonnes raisons de penser que les prix de l’agriculture vont augmenter dans les prochaines années. Dernier conseil d’un pro : pour les autres marchés, “je reste attentif à l’évolution des marchés et de l’économie mondiale avant de me décider“. Un conseil à méditer pour les novices.