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ACtualites du marche des changes

Clickforex.de, nouveau portail sur le forex en allemand

Un nouveau venu vient de faire son apparition dans le monde du forex avec le portail allemand Clickforex.de.

Ce site, qui vient juste d’être lancé, s’adresse principalement aux particuliers allemands qui souhaitent investir sur le marché des changes. Il fournit notamment des articles d’informations quotidiens afin de bien se placer sur les devises, des articles pour se former au trading en ligne et également une sélection des brokers forex fiables présents sur le marché allemand.

Clickforex.de a toutes les chances de s’imposer rapidement comme l’un des principaux portails pour le forex en Allemagne.

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Le monde au bord d’une nouvelle guerre des devises

C’est confirmé, le monde entre dans une nouvelle guerre…la guerre des devises!

Selon un membre éminent de la banque centrale russe, Aleksey Ulyukaev, plusieurs pays sont susceptibles de manipuler de nouveau les taux de change afin de maintenir leur compétitivité économique. En d’autres termes, les banques centrales risquent de dévaluer leur propre devise afin de donner un coup de fouet aux exportations, un secteur souvent crucial pour bien des économies.

Comme on le sait suffisamment en tradant sur le marché des changes, lorsque la monnaie d’un pays part à la baisse, cela signifie que le taux de change d’autres devises va partir à la hausse, nuisant à la compétitivité des pays concernés.

Des propos similaires ont d’ailleurs été tenu par l’économiste en chef de la Banque Mondiale, Kaushik Basu, à la différence près qu’il s’attend à ce que la guerre des devises n’ait pas lieu avant l’année prochaine. Il met en avant que le fait que la crise de la dette européenne mais également les questions budgétaires aux Etats-Unis, dont le relèvement attendu du plafond de la dette, vont représenter les risques les plus importants pour la stabilité des taux de change en 2013.

Certains pays ont toutefois déjà pris les devants.

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Goldman Sachs_trading

Le linge sale dissimulé de Goldman Sachs

Goldman Sachs a annoncé pour l’année 2012 un bénéfice net qui a quasiment doublé à 7.3 milliards de dollars ce qui équivaut, pour avoir une idée, au PIB du Nicaragua en 2011.

Les revenus de la banque d’affaires américaine ont gonflé en partie du fait de la cession de hedge funds en accord avec la législation Volcker qui interdit aux banques de disposer de fonds spéculatifs.

Cependant, on aurait tort de croire que la banque d’affaires, présentée souvent comme le symbole des dérives du néo-libéralisme, en a fini avec la spéculation. La mise en place de la législation Volcker n’a au final donné que l’apparence d’un renouveau à Wall Street mais, fondamentalement, les banques d’affaires américaines continuent leurs mauvaises pratiques en toute discrétion.

Goldman Sachs, comme d’autres, a su s’adapter aux nouvelles règles bancaires.

La spéculation à court terme réalisée par les banques pour leur propre compte, ce qu’on appelle dans le jargon financier le prop trading, n’est plus officiellement.

Pour autant, en douce, la spéculation demeure et en premier lieu chez Goldman Sachs. Ainsi, un département peu connu du public a été récemment mis en place pour prendre le relais. Il s’agit du Multi-Strategy Investing aussi appelé MSI par les initiés. Ce département a tout d’un fonds spéculatif géré en interne qui s’occupe de placer environ 1 milliard de dollars appartenant à la banque.

Goldman Sachs n’est toutefois pas hors la loi. Officiellement, ce montant colossal est investi sur le long terme et non pas sur du court terme, c’est-à-dire moins de 60 jours, comme c’est interdit par la réglementation Volcker. On voit là déjà les limites de la grande réforme de Wall Street du président Obama.

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Drapeau UK_Forex

Les nouvelles économiques du marché des changes du 21 janvier 2012

L’actualité macroéconomique de vendredi dernier ne fut pas chargée.

Outre-Manche, les ventes au détail ont reculé contre toute attente en décembre avec une baisse de 01.% sur un mois. Sur un an, on reste en territoire positif avec une progression de 0.3%, un niveau cependant très faibles qui laisse craindre une nouvelle contraction de l’économie britannique.

Le seul indicateur américain fut l’indice de confiance de l’Université du Michigan qui a reculé contre toute attente en décembre avec un chiffre à 71.3 contre 72.9 le mois précédent. Le consensus était à 75.

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