El Raspao: Le système D des Vénézuéliens pour s’enrichir grâce au taux de change du bolívar
L’héritage d’Hugo Chavez n’est décidément pas facile à porter. Après les pénuries de papier toilette ou encore de vin pour la messe qui ont fait passer le Venezuela, première réserve de pétrole au monde selon l’OPEP, pour un pays du tiers-monde, voici un nouveau phénomène qui aura le mérite de faire sourire: la pénurie de billets d’avion!
Un dollar à plus de 40 bolívars sur le marché noir
Qu’on ne se méprenne pas, les Vénézuéliens ne cherchent pas tous à quitter le navire…bien que l’économie du pays reste moribonde. En fait, ils profitent abondamment d’une énième lacune de la gestion chaviste: les contrôles étroits s’appliquant sur le marché monétaire local qui ont fait bondir le marché noir des devises.