Chères lectrices, chers lecteurs,
Pour mettre toutes les chances de votre côté, n‘oubliez pas de consulter nos graphiques Forex en temps réels.
Et surtout, n’oubliez pas de bien placer vos ordres! Bonne séance de trading à tous!
L’or constitue une protection contre l’inflation
Le cours de l’or augmente généralement lorsque le coût de la vie augmente, cela signifie donc qu’il est un bon rempart contre l’inflation. L’histoire du marché boursier américain montre très bien ce mécanisme car en période de forte inflation, le Dow Jones baisse alors que l’or reste stable voire progresse. Vous l’aurez compris, si l’inflation vous inquiète alors peut-être est-il temps de vous tourner vers l’or.
L’or permet de diversifier son portefeuille de placements
Lorsque l’on commence à s’aguerrir sur les marchés financiers, il est important de diversifier son portefeuille de placements pour être rentable sur du long terme. Vous pouvez certes investir sur des actions, des obligations ou de nouvelles devises mais également ajouter un peu de stabilité en choisissant de négocier sur l’or.
L’or est à l’abri des crises géopolitiques
Le cours des devises et des indices boursiers fluctue en fonction du climat politique et économique d’un pays à un instant T. L’or, en revanche, a tendance à résister aux fortes fluctuations de prix. Si vous êtes inquiet des risques géopolitiques alors investir sur le métal précieux peut constituer un bon moyen d’être serein dans son trading.
Que s’est-il passé la dernière fois ?
Lors de notre dernier article sur le rapport NFP du mois de mai, nous nous attendions à une surprise à la baisse des chiffres de l’emploi américain notamment dans les secteurs non agricoles. La lecture réelle montrait effectivement une maigre progression de 38 000 embauches, soit la plus faible augmentation depuis septembre 2010.
Histoire d’aggraver encore les choses, la lecture du mois d’avril a été rétrogradée de 160 000 à 123 000 et la lecture de mars également, 186 000 contre 208 000. Le taux de participation au marché du travail enregistrait également un glissement 62,6% contre 62,8%. Il semblerait qu’environ 664 000 travailleurs américains aient arrêté de chercher du travail.
Le taux de chômage enregistrait, quant à lui, une chute de 4,9% à 4,7%, soit son plus bas niveau depuis fin 2007 mais ce recul est principalement attribuable à la baisse du taux de participation, ce n’est donc pas vraiment une information réjouissante. Seul point lumineux du rapport NFP du mois de mai, l’augmentation de 0,2% des salaires.
