Chers traders et aficionados des devises, bienvenue dans cette édition où le Forex ne dort jamais, même si, par moments, on aimerait bien. Ce samedi 21 juin 2025, laissez-moi vous plonger dans le spectacle fascinant des marchés des devises, où chaque point de pourcentage ressemble à une bonne série Netflix : imprévisible, dramatique, et souvent, totalement absurde.
## Analyse du marché des devises
Le couple de devises star reste l’EUR/USD, oscillant comme un funambule sur son fil à 1,1515, soutenu par des moyennes mobiles qui, ma foi, ont l’air aussi perdues que nous face aux dernières décisions politiques[3]. Après trois jours de plongeon, les marchés européens ont finalement pris leur café du matin et rebondi légèrement, rassurés par des développements politiques – ou du moins par l’illusion que quelque chose est sous contrôle[4]. Le pétrole, ce vieux baroudeur, joue au yo-yo avec une baisse de plus de 3% vendredi, laissant les investisseurs se demander si c’est le début d’une mode « oil chic » ou juste un coup de mou temporaire[2]. Bref, la volatilité est au rendez-vous, et les devises, elles, dansent la lambada sur l’arène géopolitique.
## Contexte politique et géopolitique
Ah, la géopolitique, notre grande comédie tragique. Le duo Israël-Iran continue de tenir la scène, avec Israël qui menace d’envoyer le grand K.O à la République islamique, et Donald Trump qui, dans un coup de théâtre digne d’Hollywood, s’accorde deux semaines de réflexion avant d’enfin décider s’il va sortir les gants ou préférer un peu de yoga diplomatique[6]. Côté français, la justice des mineurs se pose en diva du moment, avec Darmanin qui déclare que les peines sont « pas à la hauteur » – sans surprise, la machine politique tourne plus vite que le marché des changes en pleine tempête[6]. Pendant ce temps, Poutine assure que la guerre en Ukraine n’a pas encore réussi à faire exploser l’économie russe. Comme quoi, la résilience a parfois un sens bien particulier… ou un sens de l’humour macabre[4].
## Conclusion
Alors voilà, chers lecteurs : le Forex, c’est un peu comme notre planète en 2025, un patchwork d’incertitudes, de postures militaires, et de paris financiers aussi risqués qu’un échange de SMS avec votre belle-mère. La seule constante ? L’instabilité. Heureusement que l’on aime ça, sinon il faudrait se mettre au tricot. Alors, pendant que vous dégustez votre café de ce samedi matin, pensez à ceci : si les devises étaient aussi capricieuses que nos politiciens, peut-être vaudrait-il mieux investir dans le bon vieux franc… ou alors dans une boule de cristal.
Et pour finir, question existentielle digne d’un lundi matin au bureau : si Trump prend deux semaines pour réfléchir, est-ce que le marché en profitera pour faire une sieste de deux semaines aussi ? À méditer entre deux trades !