Bienvenue dans votre rendez-vous quotidien avec les marchés des devises, où l’euro danse la valse hésitation avec le dollar, sous l’œil goguenard d’un monde politique qui ferait passer une telenovela pour un documentaire de la BBC.
**Introduction :** Ce mardi 1er juillet 2025, tandis que le CAC40 s’est offert une petite sieste baissière (-0,43%) malgré un contexte mondial plutôt optimiste, les changes ne sont pas en reste d’une dramaturgie pleine de rebondissements et d’ironie. Accrochez-vous, car la monnaie unique européenne conserve son avantage face au dollar, malgré le poids lourd politique américain qui distribue ses cartes au sommet de l’OTAN\[3]\[5].
**Analyse de marché :** L’euro-dollar flirte avec une zone technique clé, oscillant entre prudence et espoir d’un rebond haussier vers 1,22 USD, confirmant une sortie de « camisole technique » dont rêverait tout patient en psychiatrie financière[5]. Pendant ce temps, le dollar reste sur ses gardes, soutenu par une inflation américaine légèrement plus haute que prévu (Core PCE à 0,2% contre 0,1%), ce qui rend le scénario d’un dollar solide un peu plus crédible, à la grande joie des traders amateurs de montagnes russes émotionnelles[1]. Quant aux métaux précieux, ils se faufilent en terrain positif, avec un platine bondissant de 30%, un vrai sprint pour du métal, qui confirme que l’argent et le cuivre ne sont pas là pour faire de la figuration[1].
**Contexte politique et géopolitique :** Mais attendez, ce n’est pas tout ! Le sommet de l’OTAN à La Haye a offert un spectacle digne d’un thriller politique. Donald Trump, maître incontesté du « partage du fardeau », a obtenu des Européens qu’ils alourdissent leurs budgets de défense, rappelant avec un sourire narquois que leur autonomie stratégique reste un mirage, bien plus facile à évoquer qu’à réaliser\[2]\[4]. Pendant ce temps, au Moyen-Orient, la trêve entre Israël et l’Iran tient bon, ou du moins promet une pause dans une escalade bien trop bien huilée pour surprendre qui que ce soit. Trump, toujours en mode négociateur-star, se vante d’avoir obtenu une « trêve complète et totale »… On croise les doigts que ce ne soit pas un nouveau plot twist à la « fake news »\[4]\[6].
**Conclusion :** En résumé, les devises jouent au chat et à la souris, les métaux scintillent comme des projecteurs sur une scène politique qui ne manque jamais de rebondissements, et l’Europe continue de chercher son mojo stratégique, pendant que les États-Unis s’amusent à redessiner les règles du jeu militaire mondial. Et vous, cher trader éclairé mais pas trop, pensez-vous que l’Europe finira par payer sa défense elle-même ou compte-elle encore sur Uncle Sam pour lui servir le café ? Allez, à vos paris : le « partage du fardeau », c’est plus un partage ou un vol à l’arraché déguisé ?