Bienvenue dans votre dose quotidienne d’humour monétaire et de cynisme financier fraîchement distillée sur forex.fr, où les devises valsent au rythme des caprices politiques mondiaux.
Ce jeudi 17 juillet 2025, le dollar américain joue à la montagne russe du suspense avec la Réserve fédérale américaine. Après une journée mardi où le dollar s’était fait malmener (-0,9%), grâce à une rumeur — disons… pas totalement démentie — d’un possible limogeage de Jerome Powell par l’ex-président Trump, la devise verte a repris sa marche triomphale, regagnant 0,44 % face à l’euro. Imaginez le dollar, ce héros inlassable, qui s’accroche à ses sommets comme un stagiaire à son job : un peu paniqué, mais obstiné\[1]\[3]. Les marchés digèrent encore les propos ambigus de Trump, toujours critique envers Powell, qualifié de mauvais pilote monétaire parce qu’il n’abaisse pas les taux comme au marché aux prix cassés.
Pendant ce temps, le yen japonais perd du terrain, tombant à 172,27 yens pour un dollar, son plus bas niveau depuis un an, histoire de pimenter les élections cruciales nippones à venir. Qui aurait cru que la politique du pays du Soleil-Levant pouvait aussi nourrir la déroute d’une monnaie? Pas de bol pour Tokyo, alors que les marchés redoutent l’incertitude politique en plein tour de montagnes russes économiques[1].
En Europe, pendant que François Bayrou essaie de faire avaler un plan de rigueur aussi appétissant qu’un plat de brocolis servis à un enfant, les tensions dans la coalition gouvernementale s’enveniment. Cela fait joliment écho à la construction d’un pavillon d’accueil à l’Assemblée nationale — le tout dernier temple du luxe politique, engendrant dans le même souffle critiques et hausse indirecte du CAC 40 des travaux publics[2]. Parfait contexte pour que l’euro montre quelques signes de faiblesse face au dollar encore nerveux.
Mais rassurez-vous, quoi qu’en disent les données américaines sur l’inflation ou l’emploi, et malgré la menace fantôme du « virage » de Powell, les traders continuent de scruter chaque chiffre de l’IPC et des ventes au détail comme on lirait les oracles de Delphes. Il paraîtrait même que les bons du Trésor, traditionnellement refuge sûr, voient leurs faveurs mystérieusement contestées par les investisseurs étrangers. Ah, l’amour est peut-être mort entre Washington et Wall Street après la politique protectionniste musclée en place\[1]\[5][7].
En conclusion, mes chers traders à-garde-à-vous, le Forex ressemble une fois de plus à la version financière d’une série Netflix où intrigue, retournements et suspens font rage. Entre Trump, Powell, les élections japonaises et les couacs budgétaires français, c’est un véritable feuilleton digne des meilleures comédies satiriques. Et si tout cela finissait par taper dans le mille ? Ou dans le portefeuille ?
Alors dites-moi, dans ce bal des devises agité, qui pousse vraiment les pions : les banques centrales ou les divas politiques ? Et à votre avis, combien de tasses de café faut-il pour survivre à la prochaine conférence de presse ? À vos paris !