Mesdames, messieurs, bienvenue dans cette chronique du Forex du 21 juillet 2025, votre rendez-vous quotidien pour comprendre comment les devises mondiales font la danse du scalp pendant que les politiciens jouent au yo-yo diplomatique.
**Introduction**
Pour commencer, respirons un bon coup : les marchés des changes oscillent avec la grâce d’un funambule sur un câble élastique, sauf que le funambule, cette semaine, est notre dollar américain bien-aimé, qui reste aussi volatil qu’un ministre français en pleine crise de confiance, tandis que l’euro se débat avec les hésitations de Paris et Bruxelles.
**Analyse de marché**
Sur le front monétaire, le dollar USD fait preuve d’une solidité mitigée, soutenu par son rôle de valeur refuge en dépit des turbulences économiques aux États-Unis, notamment avec la nouvelle « One Big Beautiful Bill Act » — une législation pro-fossiles tellement efficace qu’elle promet de faire exploser les prix de l’énergie et, par ricochet, de bousculer le pouvoir d’achat. Résultat : la tendance sur l’EUR/USD reste incertaine, les investisseurs ne sachant plus s’ils doivent s’inquiéter de la hausse des prix ou du fait que Bernie, le politicien grincheux, ne laisse personne tranquille[2].
L’or, toujours considéré comme le baromètre de la confiance des marchés, affiche une tendance plutôt haussière. Il brille en économie chancelante, et ça tombe bien car on sent dans l’air que les tensions géopolitiques — et françaises — ne vont pas se calmer de sitôt[1].
**Contexte politique et géopolitique**
En France, la fête continue avec la montée des violences urbaines à Béziers, Limoges et Nîmes — parce que rien ne dit « stabilité économique » comme des scènes de guérilla urbaine. Pendant ce temps, le gouvernement, toujours aussi inspiré, décide d’ouvrir une prison ultra-sécurisée pour contenir la crème de la crème des narcotrafiquants. Histoire de dire que la recette pour apaiser la grogne sociale serait de bâtir des murailles plutôt que des ponts : on attend les ETF « murs de prison » pour bientôt en bourse[4].
Sur le plan international, la voie est aussi sinueuse qu’un Tour de France sans vainqueur français : la guerre commerciale entre USA et UE s’intensifie, avec Trump sortant son ciseau à tarifs douaniers, rendant le forex aussi secoué qu’un cocktail molotov dans une Chinatown en colère[5].
**Conclusion**
En somme, le marché des devises n’a jamais été aussi passionnant — ou angoissant — qu’en ce moment. Les traders oscillent entre désespoir et espoir, entre hausse de l’or et baisse des emplois, pendant que les politiciens jouent au poker menteur avec le public. Au fond, peut-être qu’investir en 2025, c’est avant tout miser sur notre capacité collective à ne jamais se prendre trop au sérieux.
Alors, chers lecteurs, pendant que nous regardons ces graphiques et ces effets d’annonce, je vous pose la question qui tue : selon vous, quelle devise finira par avoir plus de poids, l’euro ou le bon vieux sarcasme français ? À méditer… avec une tasse de café bien serrée, ça ira mieux.