Bienvenue dans l’arène du Forex, où les devises dansent un tango imprévisible sous l’œil vigilant des banques centrales et les caprices de la géopolitique, le tout avec une touche d’ironie et de sarcasme bien placé.
Ce jeudi 11 septembre 2025, le dollar US joue les équilibristes, se stabilisant légèrement après une surprise… un recul des prix à la production américains en août. Et attention, cela ouvre la porte à des baisses de taux par la Fed, probablement dès la semaine prochaine, histoire de rappeler aux marchés que la politique monétaire, c’est un peu comme changer d’avis en public : délicat mais nécessaire[1]. L’indice du dollar grappille 0,1 %, timidement, tandis que les investisseurs attendent fébrilement les chiffres de l’inflation des prix à la consommation, comme si l’économie américaine n’était pas déjà assez incertaine[1].
De l’autre côté de l’Atlantique, l’euro est exactement… immobile. Malgré une nouvelle démission gouvernementale en France – cinquième premier ministre en trois ans, un record qui ferait passer le « cha-cha-cha » pour une danse monotone – l’euro reste stoïque à 1,17 face au billet vert. Le marché semble avoir développé une sorte de « dont care » face aux soubresauts politiques français, sans doute impressionné par notre capacité nationale à tourner en boucle dans une paralysie digne d’une série Netflix d’été[5]. Le projet d’une Sixième République refait surface, promettant une démocratie plus écologique, plus transparente et… qui sait, peut-être plus stable que nos ministres éphémères ? Reste à voir si cette lubie institutionnelle fera vibrer la Bourse[2].
À l’échelle géopolitique, l’ombre toujours menaçante de la guerre en Europe de l’Est plane. Toute intensification des tensions avec la Russie serait une mauvaise nouvelle pour l’euro et les devises régionales – spoiler alert : le marché guette le moindre faux pas comme le ferait un chat devant un concombre[3]. Les banques centrales, quant à elles, ne se disputent pas moins : la BCE affiche un calme olympien, satisfaite de ses taux alors que la Fed envisage un marathon de baisses… un peu comme ce gouvernement français qui accumule les départs, mais avec plus d’efficacité.
Bref, le Forex continue son spectacle, oscillant entre haute voltige et comédie politique. Entre un dollar qui sursaute au moindre chiffre, un euro qui fait le mort, et un contexte français qui pourrait bien inspirer un nouveau genre télévisuel, on n’a jamais été aussi sûr d’une chose : les marchés adorent l’instabilité.
Alors, chers lecteurs, avec tous ces rebondissements, vous ne pensez pas que ça vaudrait la peine d’introduire une nouvelle devise : le Macroncoin, garantie 100 % volatile et remplaçable à tout moment ? Qui investirait ?