**Chronique Forex.fr – 17 novembre 2025 : Le dollar, roi du monde (et de l’ironie)**

Chers lecteurs, bienvenue dans votre dose quotidienne d’optimisme feutré et de sarcasme bien dosé. Si vous pensiez que le marché des devises était ennuyeux, détrompez-vous : aujourd’hui, le dollar américain a décidé de se lever du bon pied, ou plutôt du mauvais côté du lit pour tout le reste du monde. Pendant que l’Europe pleure ses indices boursiers et que l’euro se demande s’il n’aurait pas mieux fait de rester au lit, le billet vert, lui, affiche un sourire carnassier. On dirait que la Réserve fédérale a envoyé un message clair : « Pas de baisse de taux, pas de cadeau, juste du stress et du café froid. »

**Analyse de marché : le dollar, ce séducteur impitoyable**

Le dollar, ce matin, n’a pas fait dans la demi-mesure. Il a repris du poil de la bête, laissant l’euro se traîner autour de 1,1600, comme un étudiant en retard à un examen de macroéconomie. Le yen japonais, lui, continue sa descente aux enfers, flirtant avec les 154,70 face au dollar, tandis que la livre sterling, après avoir tremblé sur la corde raide des rumeurs budgétaires, s’est stabilisée – ou plutôt, elle a décidé de faire semblant d’être stable, comme un politicien en campagne. Quant à l’Australien et au kiwi, ils sont toujours en mode « vacances prolongées », coincés dans des bandes de consolidation, comme des touristes qui ne savent plus où ils sont.

**Contexte politique/géopolitique : quand la diplomatie rencontre le forex**

Mais que se passe-t-il donc dans le monde réel ? À Paris, Emmanuel Macron accueille Zelensky pour signer des accords de défense, dont un achat massif de Rafale. On se demande si le ministère des Finances a pensé à négocier un taux de change préférentiel pour les paiements en euros. Pendant ce temps, le salon Choose France annonce 30 millions d’euros d’investissements, ce qui, dans le contexte actuel, équivaut à peu près au budget d’un dîner d’affaires à l’Élysée. Et pendant que les chefs d’entreprise s’inquiètent du contexte budgétaire, le marché des devises leur répond : « Ne vous inquiétez pas, on va vous distraire avec des mouvements de change aléatoires. »

**Conclusion : le forex, c’est la vie, mais en plus drôle**

En résumé, le marché des devises continue de jouer à la roulette russe, avec des taux d’intérêt comme balles et des politiciens comme joueurs. Le dollar domine, l’euro se demande ce qu’il a fait de mal, et le reste du monde observe, un peu perdu, comme un spectateur de série politique qui n’a pas vu les épisodes précédents.

Alors, chers lecteurs, la question du jour : si vous pouviez échanger votre salaire contre une devise, laquelle choisiriez-vous ? L’euro, pour l’illusion de la stabilité ? Le dollar, pour la gloire du pouvoir ? Ou le bitcoin, pour le frisson du risque ?