Depuis quelques semaines, voire quelques mois, et la paire euro dollar évolu dans un canal baissier. Elle a touché à la parité avant de rebondir, et osciller à l’intérieur d’un petit canal qu’on peut voit clairement sur le graphique en H4. La décision de la BCE d’augmenter ses taux d’intérêt à 50 point de base, après une hésitation, n’a pas suffit pour augmenter la valeur de l’Euro, car les craintes d’une recession économique à l’intérieur de la zone régnent chez les investisseurs. Ces craintes sont dûes pricipalement par la gaire ukrainienne, et par d’autres événements, telque la peur de la repture de l’approvisionnement en gaz russe via le gaz oduc de Gazprom qui est arrêté pendant 10 jours, avant de reprendre jeudi dernier, mais à 40% seulement, avant de chuter à 30% lundi dernier. A ceci s’ajoutent les publications des PMI de la France et de l’almagne qui ont été decevantes, et les crises politiques en grande Bretagne à cause de la démission de Boris Johnsson, et en Itali à cause de la démission de Mrio Draghi. Nous pouvons donc conclure que les événements ne font que peser lourd sur l’Euro en faveur du dollar, mais je reste neutre, en attendant la réunion de la Fed de ce soir et la conférence de presse de Jérom Powel.
Depuis quelques semaines, voire quelques mois, et la paire
euro dollar évolu dans un canal baissier. Elle a touché à la parité avant de rebondir, et osciller à l’intérieur d’un petit canal qu’on peut voit clairement sur le graphique en H4. La décision de la
BCE d’augmenter ses taux d’intérêt à 50 point de base, après une hésitation, n’a pas suffit pour augmenter la valeur de l’Euro, car les craintes d’une recession économique à l’intérieur de la zone régnent chez les investisseurs. Ces craintes sont dûes pricipalement par la gaire ukrainienne, et par d’autres événements, telque la peur de la repture de l’approvisionnement en
gaz russe via le
gaz oduc de
Gazprom qui est arrêté pendant 10 jours, avant de reprendre jeudi dernier, mais à 40% seulement, avant de chuter à 30% lundi dernier. A ceci s’ajoutent les publications des PMI de la France et de l’almagne qui ont été decevantes, et les crises politiques en grande Bretagne à cause de la démission de Boris Johnsson, et en Itali à cause de la démission de Mrio Draghi. Nous pouvons donc conclure que les événements ne font que peser lourd sur l’Euro en faveur du dollar, mais je reste neutre, en attendant la réunion de la Fed de ce soir et la conférence de presse de Jérom Powel.