Bienvenue sur forex.fr, où l’actualité des devises est presque aussi imprévisible qu’un tweet de Donald Trump à minuit. Aujourd’hui, vos chroniqueurs préférés — épuisés mais motivés — vous proposent un cocktail de sarcasme, de politique internationale et de mises en garde (parce qu’il en faut toujours une).
**Introduction : Le dollar, toi qui n’inspires plus**
Alors que le monde célèbre (ou pas) l’entrée de la Bulgarie dans la zone euro, le dollar américain, lui, se terre humblement au fond de la baignoire des marchés. Non seulement il tombe à son plus bas niveau de l’année, mais il n’a même pas eu la décence de rebondir après la dernière vague de chaos au Moyen-Orient\[1]\[5]. On dirait qu’à Wall Street, le billet vert n’inspire plus personne. Quelle époque.
**Analyse de marché : Les devises dansent (toujours) sur un volcan**
L’euro, fort de ses nouveaux membres et de la baisse du dollar, pointe le bout de son nez vers 1,1585, tandis que le yen et le franc suisse restent sages, attendant leur heure. Mais le vrai show, c’est le dollar australien et néo-zélandais, qui, eux, ne se laissent pas faire et grimpent de plus d’un pourcent face à l’ami américain[1].
À Tokyo, le Nikkei profite de la confusion générale pour grapiller 0,59%, histoire de montrer que même en période d’incertitude, il y a toujours un optimiste dans la salle[3].
Et pendant ce temps, à Paris, le CAC 40 ouvre en baisse, comme une métaphore de la politique française : ça part mal, mais l’espoir subsiste[6].
**Contexte politique et géopolitique : Trump, Macron, et le reste du monde**
Sur la scène internationale, les choses sont… compliquées. Donald Trump sort du G7 comme un enfant frustré sortant d’une réunion de famille, après avoir appelé les résidents de Téhéran à partir à la hâte, tout en envoyant le porte-avions Nimitz dans la région\[6]\[8]. Le message est clair : l’Amérique ne participera pas directement au conflit, mais elle va quand même faire peur à tout le monde.
Côté français, Emmanuel Macron rappelle, comme un professeur fatigué, qu’il ne faut pas viser la chute du régime iranien. « Surtout ne faites pas n’importe quoi », semble-t-il dire à ses homologues. Entre les frappes potentielles, les tweets, et les déclarations publiques, la diplomatie mondiale ressemble de plus en plus à une émission de téléréalité[8].
**Conclusion : L’inquiétude, ce moteur du forex**
Dans ce contexte, les investisseurs préfèrent se réfugier… nulle part. Le dollar n’est plus un asile, les obligations américaines non plus, et même l’or semble un peu dépassé. Tout ceci prouve, une fois de plus, que la seule devise qui reste constante, c’est l’inquiétude\[1]\[5].
Pendant ce temps, la Bulgarie entre dans la zone euro. Félicitations à eux ! Reste à savoir si, dans ce climat, ils auront le temps d’organiser une fête d’intégration.
**Question à l’auditoire :**
Et vous, chers lecteurs, si vous aviez le choix entre investir dans le dollar déprimé, la zone euro élargie, ou la politique étrangère de Donald Trump, sur quel cheval miseriez-vous (ou fuiriez-vous) ?