Ah, les marchés des devises, ce théâtre quotidien où les monnaies jouent à la roulette russe, flirtant entre hausse, baisse et le grand huit émotionnel. Ce vendredi 20 juin 2025, alors que vous lisiez probablement cette chronique entre deux cafés, l’euro et le dollar décidaient encore une fois de leur sort comme un couple en pleine crise conjugale — oscillant entre 1,13 USD et ses humeurs changeantes\[2]\[6].
## Marché des devises : le bal masqué des monnaies
L’EUR/USD, la star incontestée du Forex, poursuit son petit manège avec une légère tendance haussière sur le moyen terme, flirtant avec un niveau clé autour de 1,13. Mais attention, si vous pensiez que c’était le moment idéal pour parier les économies de votre chat, sachez que l’indice de force relative (RSI) frôle les 70, un signal que le surachat pointe le bout de son nez, comme votre oncle critiquant la politique à chaque repas de famille[2]. La Banque centrale européenne fait la danse hésitante entre prudence et réduction des taux, tandis que la Fed joue la carte de la fermeté monétaire avec des taux encore élevés. Résultat : un euro qui tente de se relever mais sous la pression constante d’un dollar tenace, aidé par des indicateurs économiques américains toujours robustes[6].
## Scène politique et géopolitique : la farce continue
Pendant ce temps, sur le plan international, on assiste au scénario digne d’une série Netflix un peu trop bien écrite. Les tensions entre Israël et l’Iran entrent dans leur deuxième semaine, avec la Maison Blanche qui, dans un style « je te frappe, je te frappe pas », envisage des frappes mais reporte la décision à plus tard — parce que finalement, on adore l’incertitude, n’est-ce pas ? Cette ambiance joue la mijaurée sur les marchés, avec le Brent qui glisse de 2,1 % à environ 77,23 dollars le baril, pour le plus grand bonheur des actions européennes qui grimpent un peu\[3]\[5]. Plus près de chez nous, la France continue son spectacle politique habituel, entre lois qui divisent et annonces qui laissent les investisseurs un peu perplexes, comme un magicien qui oublie son tour au dernier moment.
## Conclusion sarcastique : faites vos jeux, rien ne va plus… ou presque
Bref, entre une BCE qui n’ose ni vraiment monter ni vraiment baisser ses taux, un dollar qui fait le dos rond en attendant de voir si la Fed daignera changer d’avis, et une géopolitique qui offre plus de rebondissements qu’un bon feuilleton, le Forex se conduit comme un enfant capricieux en pleine crise d’adolescence. Il faut donc rester prudent, noter les niveaux clés (1,125 pour l’euro), et surtout, ne pas croire que les devises sont des chevaux gagnants garantis. En attendant, amusez-vous bien à deviner si Trump va finalement appuyer sur le bouton ou si le baril de pétrole va refaire son moonwalk.
Alors dites-moi, chers traders, dans ce grand cirque monétaire, êtes-vous plutôt dompteur de lion ou clown maladroit ?