Bonjour à toutes et à tous, et bienvenue dans votre rendez-vous quotidien sur forex.fr, où les devises dansent mieux la valse que nos élus lors des débats parlementaires. Accrochez-vous, aujourd’hui on vous livre le cocktail explosif des marchés des changes, assaisonné d’une pointe d’ironie à la sauce Colbert.
**Introduction**
Ce jeudi 3 juillet 2025, les marchés des devises jouent à cache-cache avec la stabilité : l’euro continue de faire la belle sur la scène mondiale, dopé par une hausse impressionnante de 14 % depuis le début de l’année, pendant que le dollar, comme un boxeur mal-en-point mais coriace, tente péniblement de reprendre du terrain[3]. En Europe, le CAC40 sourit timidement (+0,99 %) à une France encore partagée entre la réforme des retraites et la météo caniculaire — qui, au passage, ferait fondre même les ambitions de nos politiques les plus endurcis\[1]\[6].
**Analyse de marché**
Sur le marché des changes, l’euro se pavane, porté par des négociations commerciales qui donnent l’illusion d’une résolution imminente. Le fameux 9 juillet, date butoir pour les droits de douane, approche et les investisseurs affichent un optimisme prudent, à défaut d’avoir un plan. Le dollar, lui, se redresse face à une politique monétaire américaine encore hésitante, oscillant entre hausses de taux et déclarations sibyllines de Jerome Powell, qui manie la prudence comme un funambule sur un fil[3]. Résultat : un ballet incertain où la volatilité ferait presque oublier le feuilleton politique français, pourtant lui aussi riche en rebondissements (et en coups de théâtre).
**Contexte politique et géopolitique**
Côté géopolitique, la situation n’est guère plus rassurante. Pendant que Macron décroche son premier coup de fil à Poutine depuis 2022 — un exploit diplomatique qu’on ne sait pas encore si l’on doit applaudir ou pleurer —, les tensions au Moyen-Orient continuent d’entonner leur mélodie dissonante, avec un Moyen-Orient en décomposition stratégique et la montée en puissance de la Russie et de la Chine dans la région\[2]\[4]. Pendant ce temps, Washington prépare son grand show pour le 75e sommet de l’OTAN, espérant que la célébration masquera les fractures laissées par l’ère Trump, comme on couvre un buffet d’apéritifs périmés avec un joli linge brodé\[2]\[7].
**Conclusion**
Au final, sur le marché des devises, tout cela ressemble à un grand numéro de cirque : l’euro en dompteur charismatique, le dollar en acrobate hésitant, et le reste du monde politique jouant les clowns un peu perdus. Alors, chers lecteurs, pendant que vous surveillez la paire EUR/USD comme on attend le verdict d’une réforme gouvernementale, demandez-vous : **à quand une fusion entre le Parlement et la Bourse pour éviter qu’on perde chacun notre temps dans l’un comme dans l’autre ?** Ou pire, qui sera le prochain à se faire prendre au piège dans cette danse infernale des taux et des discours ?
Restez à l’affût, et surtout, gardez votre sens de l’humour… c’est la seule devise qui ne perd jamais de valeur.