Ah, les marchés des devises… ce théâtre où l’on voit l’euro faire la maline tandis que le dollar tape du poing sur la table, et où les investisseurs naviguent à vue entre crises géopolitiques et caprices présidentiels. Ce mardi 15 juillet 2025 ne manque pas de piment, avec plus de rebondissements qu’une série Netflix à petit budget.
**Sur le front des devises**, l’euro a pris une petite claque, pâlissant face à un dollar qui fait encore preuve de sa bonne étoile. Normal : après le weekend franchement productif de Donald Trump, qui a décidé de gratifier l’Union européenne et le Mexique d’une surtaxe de 30 % sur leurs importations à partir du 1er août, le vieux continent a comme un arrière-goût de « pas cool, mec »\[1]\[5]. Le CAC40 n’a pas sursauté, mais il a tout de même cédé un léger terrain (-0.27%), preuve que la Bourse de Paris digère mal l’annonce comme un plat trop épicé pour un déjeuner réunion d’équipe[1]. Côté livre sterling, même histoire : la devise vacille, fatiguée de subir les coups de boutoir américains[5].
**Sur le plan politique et géopolitique**, Emmanuel Macron a joué son rôle de chef de guerre moderne en promettant un effort de défense « historique » pour muscler l’Europe[4]. Histoire de rappeler que « pour être craint, il faut être puissant », et que la vieille Europe ne veut plus se faire rincer sans réagir. Pendant ce temps, la Russie continue ses petits jeux dangereux dans l’Arctique, déployant ses sous-marins nucléaires et brise-glaces face à des pays de l’OTAN qui augmentent leur présence sans vraiment cacher leur inquiétude[6]. Bref, ça sent le remake de Game of Thrones version polaire, mais sans dragons.
Sur fond de tensions internationales qui se transforment en vaudeville diplomatique, les marchés étrangers naviguent entre optimisme prudent et crise de nerfs. L’Ukraine se trouve un nouveau dossier brûlant, avec les États-Unis qui semblent revoir leur feuille de route, ce qui n’aide pas vraiment à calmer le jeu[2].
**Pour conclure**, chers traders et adeptes du Forex, si l’on devait résumer la journée : le dollar joue le roi du monde, l’euro fait la moue, Trump brandit son marteau des surtaxes, et Macron distribue les muscles côté défense. Pendant ce temps, les investisseurs se demandent si ces montagnes russes géopolitiques ne finiront pas par tourner à la foire d’empoigne.
Alors la vraie question du jour : face à cette cacophonie, vaut-il mieux trader en espérant un miracle, ou investir dans une bonne vieille cagoule polaire pour suivre l’Arctique de près ? À méditer… ou à placer des options sur le retour du calme, si tant est qu’il existe encore.