**Chronique Forex du 16 novembre 2025 : Quand les drones volent, l’euro aussi… ou presque**
Chers lecteurs, bienvenue dans votre dose quotidienne de cynisme et de taux de change, où l’actualité mondiale ressemble à une série Netflix dont le scénario a été écrit par un paranoïaque sous caféine. Ce matin, l’EUR/USD a repris ses positions longues, comme si les investisseurs avaient soudainement oublié que la planète entière est en train de jouer à la roulette russe avec la géopolitique. Mais qui sommes-nous pour juger ? Après tout, rien ne rassure mieux qu’un bon rebond technique quand le monde brûle lentement autour de vous.
**Analyse de marché : le forex, ce jeu de dupes**
L’euro s’est offert un petit regain de vitalité, profitant d’un léger recul du dollar, lui-même distrait par les dernières déclarations de Donald Trump sur un « accord commercial historique » avec l’UE. Historique, certes, mais probablement aussi durable qu’un mariage de célébrité. Pendant ce temps, l’EUR/JPY poursuit sa danse hésitante, comme un couple de seniors sur une piste de danse après un repas trop arrosé. Les traders, quant à eux, oscillent entre euphorie et angoisse, comme si chaque mouvement de devise était le reflet de leur vie sentimentale.
**Contexte politique : drones, diplomatie et élections**
Mais parlons un peu de ce qui fait vraiment bouger les marchés : la politique. En France, les drones survolent les sites militaires, et personne ne sait vraiment qui tire les ficelles. L’Élysée parle d’« engagement aux côtés de l’Ukraine », mais on se demande si ce n’est pas surtout pour distraire l’opinion publique du fait que le gouvernement a suspendu les débats parlementaires pour cause de « fatigue ». Fatigue ? On comprend, entre les drones russes, les drones politiques et les drones de la vie quotidienne, il faut bien se reposer un peu.
Pendant ce temps, au Chili, les électeurs se rendent aux urnes pour choisir entre trois candidats, dont un qui promet de résoudre tous les problèmes du pays en dansant la salsa. En Équateur, un référendum sur le retour de bases militaires étrangères rappelle que parfois, la souveraineté nationale se négocie au prix d’un bon barbecue. Et à Paris, Zelensky vient discuter avec Macron, probablement pour lui demander s’il a vu passer un drone ou deux.
**Conclusion : le marché, ce théâtre de l’absurde**
Alors, chers amis, que retenir de cette journée ? Que les marchés sont aussi stables que la situation géopolitique, c’est-à-dire pas du tout. Que les politiciens sont aussi prévisibles qu’un scénario de série B, et que les investisseurs continuent d’acheter des devises comme si demain n’existait pas. Mais après tout, n’est-ce pas là le vrai sens de la vie ? Acheter, vendre, et espérer que personne ne fasse exploser le monde pendant qu’on regarde ses graphiques ?
**Question du jour :** Si les drones russes pouvaient trader le forex, pensez-vous qu’ils feraient mieux que les hedge funds ?