
Les erreurs psychologiques les plus fréquentes dans le trading de Forex
La première erreur psychologique que commettent les traders en Forex, novices ou plus expérimentés, est de suivre aveuglément la tendance sans utiliser le bon sens et
La première erreur psychologique que commettent les traders en Forex, novices ou plus expérimentés, est de suivre aveuglément la tendance sans utiliser le bon sens et
Etape 1 : le déni
Souvent lorsque l’on perd, on commence par être dans le déni. On refuse de croire que l’on est la cause de cette déconvenue et que son idée de trading n’était sans doute pas la bonne, on se cherche des excuses, etc. Il n’y a rien de mal à cela dans un premier temps car c’est un moyen de soulager votre égo, de survivre à la perte et d’aller de l’avant.
Etape 2 : Rationalisation
Une fois la phase de déni passée, généralement, on commence à rationnaliser un peu et à se pencher sur ses configurations de trading. On a alors tendance à citer tous les éléments pertinents et on passe évidemment à coté de ce qui a péché. Au final on reste toujours persuadé qu’on n’a pas commis d’erreur.
Généralement, lorsque l’on débute sur le marché des changes, on est tenté par les unités de temps très courtes, 1 et 5 minutes car elles donnent l’impression d’une forte activité qui pourrait se transformer rapidement en gain d’argent. Sachez que c’est une erreur. Les unités de temps très courtes impliquent de savoir analyser rapidement de nombreux signaux, compétence que l’on acquiert uniquement avec de l’expérience.
Les unités de temps longues ou très longues ne conviennent pas non plus vraiment aux débutants forex. Les signaux sont alors peu nombreux et les opportunités bien plus rares et puis, ce n’est pas avec un trade par semaine que vous obtiendrez efficacement de l’expérience.
L’or se remet d’une série de cinq jours consécutifs de baisse et repart à la hausse après avoir atteint son plus bas niveau depuis 5
Un broker régulé
En premier lieu, il est important de choisir un broker régulé par une autorité administrative compétente. Privilégiez-en un qui est agréé par l’Autorité des Marchés Financiers et non pas juste autorisé à exercer, cela révèle un certain sérieux. Eviter au contraire ceux inscrit sur la liste noire des brokers que l’autorité publie régulièrement.
La notion de spread
Les brokers se rémunèrent généralement grâce aux spreads. C’est donc un élément important de votre prise de décision. Le courtier qui semble vous convenir applique t’il des spreads fixes, variables, avec ou sans commission, etc. ? Cette problématique est fondamentale car sur chacune de vos positions, un pourcentage sera prélevé par le broker, mieux vaut que ce soit le minimum.
Depuis quelques semaines circulent des rumeurs concernant le site de trading social Tradeo, qui se débattrait dans des difficultés financières le contraignant à fermer
Que s’est-il passé la dernière fois ?
L’économie australienne a généré une augmentation nette de l’emploi de 37 400 sur la période d’avril. Ce fut une bonne surprise car le consensus parmi les économistes se situait autour d’une petite progression de 4 500. Cependant, la croissance de l’emploi du mois d’avril a été plus lente que celle du mois de mars même si les chiffres de ce mois ont légèrement été revus à la baisse (60 000 contre 60 900 initialement).
Autre détail décevant du rapport, le fait que la croissance enregistrée au mois d’avril repose sur une augmentation de 48 960 des emplois à temps partiel. Les emplois à temps plein ont, quant à eux, reculé de 11 600. Notez qu’il s’agit de la première perte des emplois à temps plein après deux mois consécutifs de hausse nette.
Autre détail, le taux de chômage désaisonnalisé a baissé à 5,7% en avril au lieu de stagner à 5,9%. Il s’agit de la lecture la plus basse depuis janvier 2017. Le taux de participation enfin, est resté stable à 64,8% soit sa meilleure lecture depuis juillet 2016.
Dans l’ensemble, le rapport sur l’emploi australien du mois d’avril a été bon. La seule déception repose sur la perte nette d’emplois à temps plein. Sur le marché des changes, le dollar AUD a logiquement progressé.
Le dollar australien ou la devise des matières premières
L’Australie exporte beaucoup de matières premières. Au niveau mondial, l’Australie occupe la 21ème place des pays les plus exportateurs avec 243 milliards en 2014. Ce positionnement est logique dans la mesure où le pays dispose d’importantes ressources naturelles telles que le minerai de fer, le charbon, le gaz de pétrole et l’or.
Avec cela, les matières premières représentent une part importante de l’économie australienne. Même si le pays est actuellement en pleine transition post minière cette industrie compte encore pour près de 20% du PIB. La croissance économique dépend donc grandement des prix des matières premières. Lorsque ces derniers chutent, la croissance australienne ralentit et la devise nationale se déprécie sur le marché des changes. En revanche, lorsque les prix progressent, le dollar AUD s’apprécie davantage.
Un dollar australien étroitement lié à la croissance économique de la Chine
La Chine constitue le premier partenaire commercial de l’Australie notamment en ce qui concerne le secteur minier. Le pays est donc dépendant économiquement de la Chine. Concrètement, si la demande de matière première baisse en Chine, les exportations australiennes diminuent ce qui n’est pas vraiment bon. En effet, cela se répercute sur le dollar AUD qui se déprécie alors sur le marché des changes. En revanche, si la demande est forte alors les exportations progressent et la devise s’apprécie à nouveau sur le forex.
Les banques commerciales constituent les acteurs les plus importants du marché. A elles seules, elles représentent 43% des transactions du marché interbancaires. Elles ont principalement un rôle d’intermédiaire pour les autres intervenants du marché. Leur but est de réaliser des profits en faisant du « Market Making ».
Les investisseurs institutionnels sont quant à eux le deuxième acteur le plus important du marché. Ils représentent 30% du total des échanges réalisés sur le marché des devises. Généralement, ils interviennent pour couvrir leur portefeuille d’actions, d’obligations ou de devises.
Les banques centrales sont les troisièmes intervenants de ce classement. Leurs transactions représentent entre 5% et 10% du total des volumes réalisés sur le forex. Elles interviennent en général pour défendre leurs monnaies et faire des ajustements économiques et financiers.
Chez un broker forex vous avez, en général, la possibilité d’ouvrir un compte de trading en argent réel ou en argent fictif au moyen d’un compte de démonstration. Lorsque vous négociez en argent réel, le broker prend note de vos ordres et les applique instantanément, ou presque, en investissant votre argent grâce à des grandes banques internationales. Quand vous donnez l’ordre à votre courtier de clôturer votre position, vous récupèrerez à ce moment là votre capital qui sera soit enrichi par des bénéfices soit appauvri par des pertes et donc réduit.