Dans une note de recherche, JP Morgan a affirmé que l’Italie pourrait être forcée d’accepter une aide conjointe du FMI et de l’UE pour une période d’au moins 12 mois. Un tel programme d’aide ne devrait, selon la banque d’affaires américaine, couvrir que trois quart des besoins en liquidité du pays, laissant l’Italie se financer, au moins partiellement, sur le marché de la dette.
Au total, un tel programme d’aide pourrait atteindre 240 milliards d’euros, via le FESF et le FMI.