La Syrie, caractérisée jusque là par une économie planifiée, se tourne progressivement vers une économie de marché. Ainsi, le gouverneur de la banque centrale, Adib Mayala, a annoncé un train de mesures dans le secteur financier afin d’attirer les investisseurs étrangers. Ces derniers peuvent désormais acquérir jusqu’à 60% du capital d’un établissement bancaire privé dans le pays, alors que le seuil était jusqu’à présent de 49%.
