La sulfureuse banque d’affaires américaine Goldman Sachs a plombé hier Wall Street à l’occasion de la publication de ses profits au 4ème trimestre.
La banque maîtresse de Wall Street n’a enregistré un bénéfice net que de 2.23 milliards de dollars soit une chute de moitié du bénéfice par rapport à la même période l’an passée. Par action, la banque s’en sort à peine, cela représentant 3.79 dollars soit seulement 3 cents de mieux que ce que le marché prévoyait.
La banque américaine met cette contre-performance sur le dos des conditions difficiles de marché. Pourtant, en 2009, la banque d’affaires avait enregistré un bénéfice record, en pleine crise économique et financière.
Il n’y a qu’un pas pour affirmer que la banque n’est pas aussi performante en période de reprise économique qu’en période de grave crise financière et économique mondiale.
La firme a surtout échoué sur trois secteurs clés: les marchés des taux, des changes et des matières premières. Au total, ses revenus sur ces créneaux ont chuté de 48% par rapport à l’année dernière. La banque d’affaires qui est connu pour ses investissements astucieux n’a jamais enregistré de très bonnes performances sur le marché des changes, ne parvenant pas à détrôné Deutsche Bank qui maîtrise très bien ce marché.
La sulfureuse banque d’affaires américaine Goldman Sachs a plombé hier Wall Street à l’occasion de la publication de ses profits au 4ème trimestre.
La banque maîtresse de Wall Street n’a enregistré un bénéfice net que de 2.23 milliards de dollars soit une chute de moitié du bénéfice par rapport à la même période l’an passée. Par action, la banque s’en sort à peine, cela représentant 3.79 dollars soit seulement 3 cents de mieux que ce que le marché prévoyait.
La banque américaine met cette contre-performance sur le dos des conditions difficiles de marché. Pourtant, en 2009, la banque d’affaires avait enregistré un bénéfice record, en pleine crise économique et financière.
Il n’y a qu’un pas pour affirmer que la banque n’est pas aussi performante en période de reprise économique qu’en période de grave crise financière et économique mondiale.
La firme a surtout échoué sur trois secteurs clés: les marchés des taux, des changes et des matières premières. Au total, ses revenus sur ces créneaux ont chuté de 48% par rapport à l’année dernière. La banque d’affaires qui est connu pour ses investissements astucieux n’a jamais enregistré de très bonnes performances sur le marché des changes, ne parvenant pas à détrôné Deutsche Bank qui maîtrise très bien ce marché.