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ACtualites du marche des changes

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financial_market

CZK: Oubliez une prochaine hausse des taux directeurs

En janvier, l’inflation en République Tchèque a surpris à la baisse, chutant à 1.7% sur un an contre 2.3% en décembre.
L’inflation en janvier a surpris même les plus optimistes, même la banque centrale tchèque qui s’attendait à une inflation autour de 2% sur un an. La principale raison expliquant la baisse de l’inflation réside dans la hausse nettement moins rapide que prévu des prix alimentaires.
La réaction des marchés financiers à cette annonce fut significative. La couronne tchèque chuta à un plus bas niveau depuis environ une semaine et les taux sur le marché tchèque chutèrent étant donné que les attentes concernant une éventuelle hausse des taux directeurs par Prague ont considérablement diminué.
Cette forte baisse de l’inflation, qui a pris tous les acteurs de court, a eu pour conséquence de modifier nettement les attentes des investisseurs. Avant ces chiffres, presque tous les analystes s’attendaient à une prochaine remontée des taux afin de stabiliser le niveau de l’inflation, ce qui aurait directement profité à la couronne tchèque face à la monnaie unique européenne. Désormais, les prévisions ont totalement changé: les pressions inflationnistes en République Tchèque sont très faibles en ce début d’année ce qui rend un relèvement des taux superflu. Danske Bank, l’un des principaux acteurs bancaires dans les pays nordiques, ne s’attend désormais qu’à une hausse de 25 points de base d’ici neuf à douze mois. Certains autres acteurs remettent même tout simplement en cause le principe d’une hausse des taux au cours de cette année.
Les répercussions sont importantes pour la couronne tchèque qui pourrait progresser moins nettement que prévu au cours de cette année.
En janvier, l’inflation en République Tchèque a surpris à la baisse, chutant à 1.7% sur un an contre 2.3% en décembre.
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finance

Les nouvelles économiques du 15 février 2011

Plusieurs chiffres concernant l’actualité outre-Atlantique. Selon la Maison Blanche, le taux de chômage devrait reculer très lentement pour atteindre une moyenne de 9.3% cette année et de 8.6% en 2012. Sur le front de la croissance, les prévisions ont été revues en baisse, à 2.7% en 2011 et à 3.6% en 2012.
Par ailleurs, le gouvernement américain envisage de présenter un nouveau projet de loi instaurant une taxe sur les plus grandes banques et sociétés financières, comme c’est déjà le cas dans de nombreux pays européens.
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wall_street

La revue matinale de forex.fr du 16 février 2011

– La monnaie unique européenne a chuté sur le marché des changes sous 1.35 dollar
– Le won, grand gagnant de la séance d’hier, s’est apprécié de 0.5% face à l’USD
– Nouvelles tensions sur le marché obligataire portugais
Hier, la monnaie unique européenne s’est affaiblie face aux principales autres monnaies du marché des changes alors que les ministres des Finances de l’UE étaient à Bruxelles pour débattre de la crise souveraine. Les tensions sont palpables alors que de nombreux analystes considèrent que l’UE sera incapable de mettre en place un système d’aider permanent dans de brefs délais afin d’éventuellement venir en aide au Portugal dont le PIB s’est contracté au quatrième trimestre de l’année dernière selon les chiffres communiqués hier.
Nombreux sont ceux qui soulignent que l’actuelle crise de la dette souveraine, qui se traduit par un accroissement des tensions sur les dettes périphériques, est l’occasion inespérée pour des pays leaders, comme l’Allemagne et la France, d’imposer leur modèle économique, notamment en matière de fiscalité, aux pays en difficulté. Cependant, les pays périphériques ne se laissent pas faire, au nom de la souveraineté, ce qui accentue les tensions et les blocages déjà existants. Les propos récemment tenus par les responsables grecs à l’encontre du FMI, de la BCE et de Bruxelles illustrent parfaitement ces tensions.
Sur le marché des changes, l’accentuation de la crise de la dette et aussi les mauvais chiffres communiqués sur la zone euro ont poussé l’euro en-dessous de 1.35 dollar et en dessous de 113 yens. La chute face au yen fut très sensible, d’une amplitude d’environ 100 pips par rapport au niveau de clôture de vendredi.
Le yen a fait une très bonne séance, enregistrant même des gains pour la première en l’espace de deux semaines face à l’USD en raison de spéculations sur des achats massifs de yens par les entreprises nippones en prévision de la fin de l’année fiscale, en mars. Les entreprises manufacturières s’attendent, selon l’enquête Tankan, que le yen atteigne un taux moyen de 86.47 pour un dollar pour cette année fiscale, un niveau qui pèse évidemment sur les perspectives économiques.
Par ailleurs, la livre sterling s’est renforcée face à l’euro, alors que les investisseurs attendent avec beaucoup d’impatience la publication du rapport sur l’inflation de la BoE qui devrait renforcer nettement les attentes autour d’une hausse des taux directeurs. La devise de Sa Majesté a donc toutes les chances de s’apprécier beaucoup au cours de cette séance.
Aujourd’hui, l’actualité risque d’être chargée pour l’euro et le dollar, avec la publication du PIB allemand qui est attendu en légère baisse et l’indice ZEW qui est attendu en faible hausse, une hausse qui ne devrait pas être suffisante pour redonner des couleurs à l’euro. En revanche, l’Empire State Survey risque de renforcer le dollar américain en début d’après-midi car il est attendu en très nette progression.
– La monnaie unique européenne a chuté sur le marché des changes sous 1.35 dollar
Le won, grand gagnant de la séance d’hier, s’est apprécié de 0.5% face à l’USD
– Nouvelles tensions sur le marché obligataire portugais
Hier, la monnaie unique européenne s’est affaiblie face aux principales autres monnaies du marché des changes alors que les ministres des Finances de l’UE étaient à Bruxelles pour débattre de la crise souveraine. Les tensions sont palpables alors que de nombreux analystes considèrent que l’UE sera incapable de mettre en place un système d’aider permanent dans de brefs délais afin d’éventuellement venir en aide au Portugal dont le PIB s’est contracté au quatrième trimestre de l’année dernière selon les chiffres communiqués hier.
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