Selon les données communiquées par Eurostat, la production industrielle dans la zone euro a reculé contre toute attente en mars, en raison principalement d’une chute de la fabrication de biens d’équipement. Ainsi, c’est une production en recul de 0.2% qui a été publiée, mais la hausse sur un an reste toutefois confortable, à 5.3%. Les économistes ont toutefois été déçus par ces chiffres, qui étaient loin de leurs prévisions.
En Grèce, alors que le pays fait face à de fortes manifestations, le taux de chômage a continué de grimper à un rythme important, atteignant 15.9% en février contre 12.1% un an plus taux. C’est le plus fort taux de chômage dans le pays depuis qu’il a commencé à publier des estimations mensuelles tous les mois. A titre de comparaison, dans la zone euro, le chômage était de 9.9% en février.
Enfin, les prix du pétrole pourraient encore baisser alors que l’AIE a revu sa prévision de croissance de la demande mondiale pour cette année. Selon l’agence, la demande ne devrait atteindre que 1.29 million de barils contre 1.43 million précédemment. Parmi les causes invoquées pour expliquer ce repli, la très forte hausse des cours constatées au cours des dernières semaines qui auraient des effets négatifs sur la demande de brut.
Selon les données communiquées par Eurostat, la production industrielle dans la zone euro a reculé contre toute attente en mars, en raison principalement d’une chute de la fabrication de biens d’équipement. Ainsi, c’est une production en recul de 0.2% qui a été publiée, mais la hausse sur un an reste toutefois confortable, à 5.3%. Les économistes ont toutefois été déçus par ces chiffres, qui étaient loin de leurs prévisions.
En Grèce, alors que le pays fait face à de fortes manifestations, le taux de chômage a continué de grimper à un rythme important, atteignant 15.9% en février contre 12.1% un an plus taux. C’est le plus fort taux de chômage dans le pays depuis qu’il a commencé à publier des estimations mensuelles tous les mois. A titre de comparaison, dans la zone euro, le chômage était de 9.9% en février.
Enfin, les prix du pétrole pourraient encore baisser alors que l’AIE a revu sa prévision de croissance de la demande mondiale pour cette année. Selon l’agence, la demande ne devrait atteindre que 1.29 million de barils contre 1.43 million précédemment. Parmi les causes invoquées pour expliquer ce repli, la très forte hausse des cours constatées au cours des dernières semaines qui auraient des effets négatifs sur la demande de brut.