Cependant, comme l’a fait remarqué le Financial Times dans ses colonnes, « beaucoup de traders anticipaient une telle décision ». Par conséquent, il sera particulièrement difficile de prouver d’éventuels délits d’initiés.
Le gendarme de la Bourse français a également enclenché une enquête depuis vendredi afin de déterminer si les rumeurs qui ont agité les marchés financiers mondiaux, et notamment en France, pourraient être assimilées à des abus de marché, terme qui englobe les manipulations de cours, les délits d’initiés et la diffusion de fausses informations.
Mercredi dernier, les valeurs financières françaises, dont la SocGen, ont été la cible de rumeurs très alarmistes, enclenchant une dégringolade de plus de 10% en une seule séance de certaines valeurs.