L’EURUSD, cross majeur du marché des changes, est en faible baisse à 10h30, heure de Paris, évoluant à 1.4445 après avoir commencé la journée au-dessus de 1.45 à 1.4514.
Le scénario EURUSD du jour:
Hier, la paire EURUSD a évolué dans des ampleurs assez importantes, entre 1.4466 et 1.4549. Deux scénarios se profilent pour le moment. Tant que le support à 1.4442 ou 1.4412 tient, la parité devrait se traiter plus haut que 1.4556. En cas de cassure, l’EURUSD pourrait continuer d’évoluer, au moins pour cette séance, dans la bande 1.4400-1.4500 avec tendance baissière.
Au niveau macroéconomique, la séance sera essentiellement marquée par la publication à 15h de l’indice Case-Shiller américain du marché de l’immobilier et surtout, à 16h, la confiance des consommateurs qui est attendue en très nette baisse à 52 contre 59.5 précédemment.
Point sur les fondamentaux EURUSD
Depuis le week-end dernier, l’attention des marchés se porte de nouveau, de plus en plus, sur le secteur bancaire européen. L’appel de Christine Lagarde à une recapitalisation urgente des banques européens a été très différemment apprécié.
Si le président de l’AMF en France, Jean-Pierre Jouyet a repris les propos de la patronne du FMI à son compte, affirmant qu’un “certain nombre de banques européennes doivent être recapitalisées”, mais” pas les plus importantes”, la présidente du Medef, Laurence Parisot, a vivement critiqué l’appel de l’ancien ministre des Finances français.
Dans un entretien à la radio Europe 1, elle a jugé une recapitalisation “incompréhensible”, ajoutant que “les banques européennes sont solides”, notamment les banques françaises. Elle a clairement fustigé l’idée d’injecter des fonds publics dans des banques qui se portent, selon elle, très bien.
Toujours concernant le secteur bancaire européen, un article publié ce matin du Financial Times, qui est déjà à l’origine de plusieurs rumeurs concernant la zone euro, l’Institut International des normes comptables estimerait que certains établissements financiers auraient dû enregistrer dans leurs comptes des dépréciations et des provisions plus importantes sur leurs titres de dette souveraine grecque lors de la publication des derniers tests de résistance bancaire en juillet dernier. Parmi les banques évoquées figurent notamment les établissements français BNP Paribas et CNP Assurances. Pour l’instant, la Bourse de Paris a peu réagi à ces informations, les valeurs bancaires évoluant même en hausse sur le place de Paris, grâce à la publication de résultats trimestriels meilleurs que prévu.
L’EURUSD, cross majeur du marché des changes, est en faible baisse à 10h30, heure de Paris, évoluant à 1.4445 après avoir commencé la journée au-dessus de 1.45 à 1.4514.
Le scénario EURUSD du jour:
Hier, la paire EURUSD a évolué dans des ampleurs assez importantes, entre 1.4466 et 1.4549.
Deux scénarios se profilent pour le moment. Tant que le support à 1.4442 ou 1.4412 tient, la parité devrait se traiter plus haut que 1.4556. En cas de cassure, l’EURUSD pourrait continuer d’évoluer, au moins pour cette séance, dans la bande 1.4400-1.4500 avec tendance baissière.
Au niveau macroéconomique, la séance sera essentiellement marquée par la publication à 15h de l’indice Case-Shiller américain du marché de l’immobilier et surtout, à 16h, la confiance des consommateurs qui est attendue en très nette baisse à 52 contre 59.5 précédemment.
Point sur les fondamentaux EURUSD
Depuis le week-end dernier, l’attention des marchés se porte de nouveau, de plus en plus, sur le secteur bancaire européen. L’appel de Christine Lagarde à une recapitalisation urgente des banques européens a été très différemment apprécié.
Si le président de l’AMF en France, Jean-Pierre Jouyet a repris les propos de la patronne du FMI à son compte, affirmant qu’un “certain nombre de banques européennes doivent être recapitalisées“, mais” pas les plus importantes“, la présidente du Medef, Laurence Parisot, a vivement critiqué l’appel de l’ancien ministre des Finances français.
Dans un entretien à la radio Europe 1, elle a jugé une recapitalisation “incompréhensible“, ajoutant que “les banques européennes sont solides“, notamment les banques françaises. Elle a clairement fustigé l’idée d’injecter des fonds publics dans des banques qui se portent, selon elle, très bien.
Toujours concernant le secteur bancaire européen, un article publié ce matin du Financial Times, qui est déjà à l’origine de plusieurs rumeurs concernant la zone euro, l’Institut International des normes comptables estimerait que certains établissements financiers auraient dû enregistrer dans leurs comptes des dépréciations et des provisions plus importantes sur leurs titres de dette souveraine grecque lors de la publication des derniers tests de résistance bancaire en juillet dernier. Parmi les banques évoquées figurent notamment les établissements français BNP Paribas et CNP Assurances.
Pour l’instant, la Bourse de Paris a peu réagi à ces informations, les valeurs bancaires évoluant même en hausse sur le place de Paris, grâce à la publication de résultats trimestriels meilleurs que prévu.