L’Italie a réussi hier une émission obligataire mais à grand frais, à des taux qui n’ont jamais été vus depuis l’introduction de l’euro. Rome a levé 6.485 milliards d’euros dont 3.865 milliards sur des titres à cinq ans à un rendement de 5.60%. Cette hausse du rendement fut le résultat de rumeurs non confirmées concernant une aide de la Chine à Rome en investissant dans sa dette. Cependant, ces rumeurs ont perdu en puissance au cours de la séance d’hier, jusqu’à peser sur les cours.
Toutefois, la Chine a tenu à réaffirmer solennellement sa “confiance dans l’économie européenne et dans l’euro”, comme l’a déclaré le porte parole du ministère des Affaires étrangères. “L’Europe va rester un marché d’investissements pour la Chine”, sans confirmer ou nier les rumeurs d’achat de dette italienne.
Par ailleurs, le président Obama s’est exprimé au sujet de la crise que traverse la zone euro dans le quotidien El Mundo en affirmant que “les grands pays d’Europe, les dirigeants du continent, doivent se rencontrer et prendre une décision sur une intégration coordonnée de la politique monétaire, avec une politique budgétaire mieux coordonnée”, tout en reconnaissant que la structure même de la zone euro rend difficile de se mettre d’accord sur “une méthode commune”.
Enfin, alors que la crise connait un nouveau rebondissement, la crainte d’un problème de type “too big to fail” semble ressurgir outre-Atlantique. La banque centrale américaine semble voir d’un très mauvais oeil le projet de rachat par Capital One des activités de banque en ligne aux Etats-Unis d’ING Group selon une information du WSJ. Toujours selon le quotidien financier, la Fed aurait demandé fin août à Capital One des détails sur les activités en question alors qu’un accord a été conclu en juin dernier entre le bancassureur néerlandais et Capital One pour un montant de neuf milliards de dollars.
L’Italie a réussi hier une émission obligataire mais à grand frais, à des taux qui n’ont jamais été vus depuis l’introduction de l’euro. Rome a levé 6.485 milliards d’euros dont 3.865 milliards sur des titres à cinq ans à un rendement de 5.60%. Cette hausse du rendement fut le résultat de rumeurs non confirmées concernant une aide de la Chine à Rome en investissant dans sa dette. Cependant, ces rumeurs ont perdu en puissance au cours de la séance d’hier, jusqu’à peser sur les cours.
Toutefois, la Chine a tenu à réaffirmer solennellement sa “confiance dans l’économie européenne et dans l’euro“, comme l’a déclaré le porte parole du ministère des Affaires étrangères. “L’Europe va rester un marché d’investissements pour la Chine“, sans confirmer ou nier les rumeurs d’achat de dette italienne.
Par ailleurs, le président Obama s’est exprimé au sujet de la crise que traverse la zone euro dans le quotidien El Mundo en affirmant que “les grands pays d’Europe, les dirigeants du continent, doivent se rencontrer et prendre une décision sur une intégration coordonnée de la politique monétaire, avec une politique budgétaire mieux coordonnée“, tout en reconnaissant que la structure même de la zone euro rend difficile de se mettre d’accord sur “une méthode commune”.
Enfin, alors que la crise connait un nouveau rebondissement, la crainte d’un problème de type “too big to fail” semble ressurgir outre-Atlantique. La banque centrale américaine semble voir d’un très mauvais oeil le projet de rachat par Capital One des activités de banque en ligne aux Etats-Unis d’ING Group selon une information du WSJ. Toujours selon le quotidien financier, la Fed aurait demandé fin août à Capital One des détails sur les activités en question alors qu’un accord a été conclu en juin dernier entre le bancassureur néerlandais et Capital One pour un montant de neuf milliards de dollars.