En dépit de la forte volatilité économique mondiale, un business reste toujours autant en expansion dans le quartier d’affaires londonien – le trafic de cocaïne.
C’est ce qu’a confié en tout cas un trader repenti, ancien accroc à la drogue et à l’alcool, au Guardian. Dans un article détonant, le Guardian explique comment ce trader “aux bonus à six chiffres”, appelé Daniel, s’est engouffré dès son arrivée à la City dans le monde de l’addiction, à la drogue, à l’alcool, et au sexe.
Alors que les petits bandits de banlieue se procurent leur dose de cocaïne au coin d’une rue sombre, les grands pontes de la City se la procure, d’après le récit de Daniel, dans certains des restaurants les plus en vue de Square Mile. Sans les nommer, Daniel a recensé près d’une vingtaine de bars ou de restaurants où il est possible de se procurer sans aucune difficulté de la drogue.
La technique est apparemment toujours la même: il suffit de commander des bouteilles de vin spécifiques qui ne figurent pas sur le menu. C’est le “code secret” pour commander en fait de la cocaïne auprès du restaurant. Ensuite, le restaurant fait passer, sur la note, l’achat de cocaïne par l’achat d’une bouteille de vin de très grande qualité.
Un petit tour de passe-passe que tous les traders de la City semblent connaître selon les dires de Daniel.
Ce dernier, qui est passé comme nombre de ses collègues par une longue cure de désintoxication, reconnait aisément que “la City a un problème en constante augmentation avec l’addiction et que les difficultés économiques actuelle n’aident en rien”. Cependant, il précise que “l’addiction n’est pas un problème lié uniquement à un seul secteur d’activité. C’est une maladie qui fait partie de la nature humaine”.
En dépit de la forte volatilité économique mondiale, un business reste toujours autant en expansion dans le quartier d’affaires londonien – le trafic de cocaïne.
C’est ce qu’a confié en tout cas un trader repenti, ancien accroc à la drogue et à l’alcool, au Guardian. Dans un article détonant, le Guardian explique comment ce trader “aux bonus à six chiffres“, appelé Daniel, s’est engouffré dès son arrivée à la City dans le monde de l’addiction, à la drogue, à l’alcool, et au sexe.
Alors que les petits bandits de banlieue se procurent leur dose de cocaïne au coin d’une rue sombre, les grands pontes de la City se la procure, d’après le récit de Daniel, dans certains des restaurants les plus en vue de Square Mile. Sans les nommer, Daniel a recensé près d’une vingtaine de bars ou de restaurants où il est possible de se procurer sans aucune difficulté de la drogue.
La technique est apparemment toujours la même: il suffit de commander des bouteilles de vin spécifiques qui ne figurent pas sur le menu. C’est le “code secret” pour commander en fait de la cocaïne auprès du restaurant. Ensuite, le restaurant fait passer, sur la note, l’achat de cocaïne par l’achat d’une bouteille de vin de très grande qualité.
Un petit tour de passe-passe que tous les traders de la City semblent connaître selon les dires de Daniel.
Ce dernier, qui est passé comme nombre de ses collègues par une longue cure de désintoxication, reconnait aisément que “la City a un problème en constante augmentation avec l’addiction et que les difficultés économiques actuelle n’aident en rien“. Cependant, il précise que “l’addiction n’est pas un problème lié uniquement à un seul secteur d’activité. C’est une maladie qui fait partie de la nature humaine“.