Chers messieurs, voici enfin une raison de regarder les femmes marchant en mini jupes: cela révèle quelque chose sur l’économie!
Du moins, c’est ce que pensait un célèbre économise des années 20.
Au cours des dernières décennies, les économistes sont allés parfois très loin pour juger de l’état de l’économie, adoptant une approche parfois peu scientifique. Une approche qui a séduit depuis quelques investisseurs avertis qui jugent de l’état de l’économie via des indicateurs qu’on ne peut pas trouver sur les terminaux de Bloomberg ou sur les plateformes des brokers.
Voici les sept indicateurs macroéconomiques les plus étranges!
L’indice américain Hemline
Les créateurs de mode ont leur indice! Inventé par l’économiste G. Taylor dans les années 20, l’indice Hemline prétend prévoir l’évolution de l’économie en fonction de la longueur des jupes et des robes des femmes. Plus la jupe/robe est courte, plus l’économie se porte bien.
Considéré comme un mythe, l’indice Hemline a toutefois encore été évoqué par certains économistes pendant la crise des subprimes.
L’indice des sous-vêtements masculins
Après les femmes, place aux hommes! Selon cet indice, les hommes renoncent aux achats de sous-vêtements pendant les périodes de crise pour économiser. A l’inverse de l’indice Hemline, cet indicateur fait encore des émules, notamment Alan Greenspan qui n’a pas caché se baser en partie sur cet indice pour prendre ses décisions de politique monétaire lorsqu’il était à la tête de la Fed. A en juger par la firme Mintel qui a estimé que les ventes de sous-vêtements masculins ont chuté de 2.3% en 2009 aux Etats-Unis, la première fois depuis 2003, cet indice semble correspondre à la réalité de l’économie.
L’indice de prostitution letton
L’offre et la demande appliquée à la prostitution. Le concept de cet indice est simple: pendant les périodes de croissance, étant donné que les femmes peuvent trouver des emplois meilleurs, il y a moins de prostituées et les prix horaires montent pour les clients.
A en juger par les données tombées récemment, l’indice de prostitution letton n’est pas loin de traduire un état réel de l’économie. Avec la crise, le prix d’une nuit avec une prostituée a en effet chuté à environ 60 dollars en 2009 en Lettonie…
L’indice Google Search
Des centaines de millions de recherches Google sont effectués quotidiennement. Donc, pourquoi ne pas agréer toutes les recherches de ce moteur géant et voir si cela nous dit quelque chose? Bingo! Près de 24 des domaines suivis, dont le chômage, oscillent en fonction du marché!
L’indice britannique Baked Bean
Le concept de cet indice repose sur le constat que les consommateurs se tournent vers les aliments en conserve pour économiser sur les frais de nourriture pendant les périodes difficiles. La preuve: en 2009, la valeur des haricots blancs a grimpé de 23% outre-Manche alors que les consommateurs préféraient rester à la maison au lieu d’aller dîner dehors.
L’indice Lisptick (ou indice rouge à lèvres)
Cet indice fut créé par Leonard Lauder, président de Estee Lauder. Il suppose que les femmes se tournent pendant les périodes de difficulté économique vers le rouge à lèvres au lieu de biens plus chers, comme les sacs à main ou les chaussures. Apparemment, Leonard Lauder n’a pas tout faux puisque selon Investopedia, les ventes de rouges à lèvres ont doublé pendant la récession qui a touché les USA après le 11 septembre 2001.
L’indice Pop-corn
Cet indice part du présupposé qu’afin d’échapper à la morosité ambiante, les consommateurs affluent au cinéma pour se changer les idées et voir les exploits d’Harry Potter ou encore de Brad Pitt. Apparemment, indice qui n’est pas totalement faux puisque c’est pendant la récession de 2009 que le box office américain a affiché les plus grands succès. En cas de double-dip, les ventes de pop-corn risquent de grimper!
Chers messieurs, voici enfin une raison de regarder les femmes marchant en mini jupes: cela révèle quelque chose sur l’économie!
Du moins, c’est ce que pensait un célèbre économiste des années 20.
Au cours des dernières décennies, les économistes sont allés parfois très loin pour juger de l’état de l’économie, adoptant une approche parfois peu scientifique. Une approche qui a séduit depuis quelques investisseurs avertis qui jugent de l’état de l’économie via des indicateurs qu’on ne peut pas trouver sur les terminaux de Bloomberg ou sur les plateformes des brokers.
Voici les sept indicateurs macroéconomiques les plus étranges!
L’indice américain Hemline
Les créateurs de mode ont leur indice! Inventé par l’économiste G. Taylor dans les années 20, l’indice Hemline prétend prévoir l’évolution de l’économie en fonction de la longueur des jupes et des robes des femmes. Plus la jupe/robe est courte, plus l’économie se porte bien.
Considéré comme un mythe, l’indice Hemline a toutefois encore été évoqué par certains économistes pendant la crise des subprimes.
L’indice des sous-vêtements masculins
Après les femmes, place aux hommes! Selon cet indice, les hommes renoncent aux achats de sous-vêtements pendant les périodes de crise pour économiser. A l’inverse de l’indice Hemline, cet indicateur fait encore des émules, notamment Alan Greenspan qui n’a pas caché se baser en partie sur cet indice pour prendre ses décisions de politique monétaire lorsqu’il était à la tête de la Fed. A en juger par la firme Mintel qui a estimé que les ventes de sous-vêtements masculins ont chuté de 2.3% en 2009 aux Etats-Unis, la première fois depuis 2003, cet indice semble correspondre à la réalité de l’économie.
L’indice de prostitution letton
L’offre et la demande appliquée à la prostitution. Le concept de cet indice est simple: pendant les périodes de croissance, étant donné que les femmes peuvent trouver des emplois meilleurs, il y a moins de prostituées et les prix horaires montent pour les clients.
A en juger par les données tombées récemment, l’indice de prostitution letton n’est pas loin de traduire un état réel de l’économie. Avec la crise, le prix d’une nuit avec une prostituée a en effet chuté à environ 60 dollars en 2009 en Lettonie…
L’indice Google Search
Des centaines de millions de recherches Google sont effectués quotidiennement. Donc, pourquoi ne pas agréer toutes les recherches de ce moteur géant et voir si cela nous dit quelque chose? Bingo! Près de 24 des domaines suivis, dont le chômage, oscillent en fonction du marché!
L’indice britannique Baked Bean
Le concept de cet indice repose sur le constat que les consommateurs se tournent vers les aliments en conserve pour économiser sur les frais de nourriture pendant les périodes difficiles. La preuve: en 2009, la valeur des haricots blancs a grimpé de 23% outre-Manche alors que les consommateurs préféraient rester à la maison au lieu d’aller dîner dehors.
L’indice Lisptick (ou indice rouge à lèvres)
Cet indice fut créé par Leonard Lauder, président de Estee Lauder. Il suppose que les femmes se tournent pendant les périodes de difficulté économique vers le rouge à lèvres au lieu de biens plus chers, comme les sacs à main ou les chaussures. Apparemment, Leonard Lauder n’a pas tout faux puisque selon Investopedia, les ventes de rouges à lèvres ont doublé pendant la récession qui a touché les USA après le 11 septembre 2001.
L’indice Pop-corn
Cet indice part du présupposé qu’afin d’échapper à la morosité ambiante, les consommateurs affluent au cinéma pour se changer les idées et voir les exploits d’Harry Potter ou encore de Brad Pitt. Apparemment, indice qui n’est pas totalement faux puisque c’est pendant la récession de 2009 que le box office américain a affiché les plus grands succès. En cas de double-dip, les ventes de pop-corn risquent de grimper!