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Analyse technique Forex EURJPY du 11 octobre 2011

L’EURJPY (tout comme l’USDJPY) reste insensible aux évolutions de la situation économique dans l’archipel nippon et continue, envers et contre tout, d’être influencé par le contexte international. Dans les premiers échanges européens, l’EURJPY évoluait à 104.57 à 10h, après une ouverture à 104.43.

Scénario EURJPY journalier

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Suivez en direct l’actualité sur la crise de la dette publique en Grèce avec forex.fr!

La rédaction de forex.fr vous propose de suivre en direct les dernières évolutions de la situation en Grèce résumée ci-dessous. Défaut de paiement partiel, ordonné ou désordonné, premier versement de l’aide internationale, vote des parlementaires pour l’élargissement du FESF sont au menu des prochaines semaines pour le pays hellénique.
Mardi 27 septembre 2011:
Accord sur des privatisations en vue entre l’Etat et plusieurs opérateurs dont le monopole des paris sportifs grec OPAP qui devrait acheter une licence pour 1 milliard d’euros. Lire la suite…
La rédaction de forex.fr vous propose de suivre en direct les dernières évolutions de la situation en Grèce résumée ci-dessous. Défaut de paiement partiel, ordonné ou désordonné, premier versement de l’aide internationale, vote des parlementaires pour l’élargissement du FESF sont au menu des prochaines semaines pour le pays hellénique.

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A l’heure du vote slovaque, le FESF ne sauvera finalement pas l’euro

Alors que les marchés financiers vont scruter méticuleusement le vote slovaque sur l’élargissement du FESF aujourd’hui, notre équipe vous propose de faire le point sur le miracle FESF, la création européenne qui était destinée à apaiser les marchés mais qui, manifestement, est incapable de le faire.
Tout ou presque a été dit sur le FESF et ses modifications. La dernière rumeur en date, qui circulait avec vivacité encore la semaine dernière, faisait part de la mise en place d’un effet de levier qui pourrait mécaniquement accroître substantiellement les capacités financières du Fonds. Cependant, cette option semble avoir été depuis abandonnée mais d’autres pistes circulent encore, et pas seulement sur les places financières internationales.
A Bruxelles et dans les capitales européennes, deux options seraient à l’étude. La première consisterait tout simplement à faire du FESF une gigantesque banque ayant des capacités de prêt virtuellement illimitées grâce à la BCE. La deuxième idée consisterait, d’après certains experts, à s’orienter plutôt vers une garantie par le Fonds de 20% des pertes sur les obligations souveraines, ce qui aurait pour conséquence d’accroître significativement la puissance de feu du FESF.
Parmi les rumeurs, probablement infondées pour l’instant, il convient aussi de mentionner l’éventualité que les détenteurs d’obligations grecques ait à subir des pertes plus importantes que prévu. Nous en parlions lundi, c’est une possibilité, voire une nécessité, mais à terme. L’Europe politique ne devrait pas s’orienter vers cette solution avant plusieurs mois.
Cependant, toutes ces solutions, si elles ont le mérite d’exister, ne seront clairement pas à même d’apporter la confiance des marchés. Le FESF a été un échec en ce sens. Pourquoi? Car les responsables politiques ne sont pas d’accord sur la manière d’aborder la crise et d’utiliser le FESF.
Passage en revue des principales positions clivantes au sein de la zone euro:
– la position fédéraliste de Jean Claude Trichet qui a affirmé récemment:
“De mon point de vue, l’Europe aura besoin de faire des progrès significatifs vers l’unité politique”
– la position anti banques et anti spéculateurs allemande:
Le ministre des Finances allemand a clairement refusé que le FESF n’injecte des fonds dans les banques alors que le secteur bancaire européen est encore très fragile et très exposé, non seulement à la crise souveraine mais aussi aux produits financiers sophistiqués comme les ETF.
– la position “anti bad bank” autrichienne:
La ministre des Finances autrichienne, Maria Rekter, a affirmé qu’elle s’opposera “à l’achat d’obligations du FESF sur le marché secondaire ce qui transformerait l’institution en bad bank”.
– la position nationaliste de la Slovaquie:
Depuis le début, le pays n’a pas dissimulé son opposition à une aide à la Grèce. Bien que le parlement devrait voter “Oui” à l’élargissement du FESF, le pays reste un obstacle à la prise de mesures supplémentaires.
Alors que les marchés financiers vont scruter méticuleusement le vote slovaque sur l’élargissement du FESF aujourd’hui, notre équipe vous propose de faire le point sur le miracle FESF, la création européenne qui était destinée à apaiser les marchés mais qui, manifestement, est incapable de le faire.
Tout ou presque a été dit sur le FESF et ses modifications. La dernière rumeur en date, qui circulait avec vivacité encore la semaine dernière, faisait part de la mise en place d’un effet de levier qui pourrait mécaniquement accroître substantiellement les capacités financières du Fonds. Cependant, cette option semble avoir été depuis abandonnée mais d’autres pistes circulent encore, et pas seulement sur les places financières internationales.
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Les nouvelles économiques du 11 octobre 2011

Sur le plan macroéconomique, la production industrielle en France a progressé de 0.5% en août après une croissance de 1.8% en juillet. L’estimation initiale de l’INSEE portait sur une hausse de 1.5%. Par ailleurs, la production manufacturière, hors énergie, a progressé de 0.7% contre 1.4% initialement.
La Banque de France a aussi maintenu sa prévision de croissance pour l’économie française au troisième trimestre, à 0.1%, selon une publication en date d’hier. La première estimation était de 0.2% en août dernier mais, du fait de la crise, une révision à la baisse avait été effectuée courant septembre.
Sur le plan de la crise souveraine, le conseiller économique du Kremlin a affirmé que la Russie est prête à aider l’Europe. “Nous attendons de voir quand les pays européens annonceront une stratégie claire et concrète de sortie de crise. Si dans le cadre de cette stratégie une aide de la Russie et des autres pays du (groupe) BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) est nécessaire, alors nous sommes prêts à accorder cette aide”, a-t-il déclaré selon les agences de presse russes.
Enfin, le secteur bancaire continue d’accumuler les difficultés alors que les dirigeants européens planchent sur une recapitalisation. La banque autrichienne Erste Group a annoncé hier une perte d’au moins 700 millions d’euros cette année en raison de dépréciations passées sur ses filiales roumaine et hongroise et d’une réduction de son exposition à la zone euro.
A noter aussi que le groupe Dexia, dont l’entité belge va être rachetée par le gouvernement de Bruxelles pour 4 milliards d’euros, avait son titre, hier, en bourse toujours suspendu de la cotation, un état de fait qui dure depuis jeudi dernier.
Sur le plan macroéconomique, la production industrielle en France a progressé de 0.5% en août après une croissance de 1.8% en juillet. L’estimation initiale de l’INSEE portait sur une hausse de 1.5%. Par ailleurs, la production manufacturière, hors énergie, a progressé de 0.7% contre 1.4% initialement.
La Banque de France a aussi maintenu sa prévision de croissance pour l’économie française au troisième trimestre, à 0.1%, selon une publication en date d’hier. La première estimation était de 0.2% en août dernier mais, du fait de la crise, une révision à la baisse avait été effectuée courant septembre.
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