La finance islamique est née dans les années 70 avec l’intention de structurer des services bancaires et des produits financiers compatibles avec les préceptes du Coran. Depuis quelques années, et en dépit de la crise de Dubaï qui a ébranlé ce modèle, la finance islamique (qui peut se décliner sur quasiment tous les marchés financiers) attire de plus en plus d’acteurs mus soient par des motifs religieux soient par les perspectives de gains financiers.
Le Royaume-Uni, et son coeur financier, la City, figurent parmi les pionniers occidentaux de la finance islamique puisque le pays à commencer à intégrer dès 2004 des produits financiers islamiques dans ses portefeuilles. En France, le mouvement est beaucoup plus lent, une fois n’est pas coutume, et ce n’est que depuis 2008, alors que le modèle du capitalisme financier est remis en cause par la crise des crédits hypothécaires, que les acteurs financiers français commencent à s’intéresser à ce phénomène.
La finance islamique repose principalement sur deux principes fondamentaux:
Selon plusieurs sources journalistiques, les négociations entre la Hongrie et le FMI sur un nouveau plan d’aide financière ne pourraient débuter qu’en janvier, au lieu