ACtualites du marche des changes

Le broker XM est présent sur le marché des changes depuis 2008. Cette longévité lui confère un statut de leader dans cette industrie. Il propose des services et produits de trading de grande qualité ainsi que certains évènements exceptionnels ponctuellement.

Actuellement, XM organise pour ses clients un championnat du monde de forex, voici quelques de précisions sur le déroulement de l’événement.

Le championnat du monde de forex organisé par XM offre une récompense finale de 500 000 dollars à répartir entre les différents vainqueurs. Pour se qualifier pour la demi-finale et espérer repartir avec cette somme, XM organise 10 tours de qualification à raison d’un par mois jusqu’à mars 2017.
Chaque tour met en jeu une cagnotte de 50 000 $ et tous les clients du broker ont l’opportunité de gagner une partie de cette dernière en plus de leur ticket pour l’étape suivante.

Les cinq premiers traders de chaque tour se qualifieront pour la demi-finale qui se déroulera en avril. Sur ces 50 traders, seulement 10 auront la chance de participer à la grande finale de ce championnat qui aura lieu en direct à la télévision en Thaïlande au mois de mai 2017. Les dix chanceux se verront offrir le voyage tous frais payés par XM.

Nous avons déjà évoqué longuement comment le « brexit » pourrait affecter l’économie du Royaume-Uni et les paires incluant la livre sterling. Voyons aujourd’hui comment cet événement sans précédent pourrait affecter l’Union européenne et l’euro sur le marché des changes. Certains analystes pensent que la devise européenne pourrait pâtir encore plus que la devise britannique, voici pourquoi.

Le « brexit » : première sortie avant d’autre ?
Selon certains économistes, la décision du Royaume-Uni de sortir de l’UE ne serait que la face émergée de l’iceberg. D’autres pays mécontents pourraient se décider à en faire de même. On parle aujourd’hui de la France, de l’Italie, des Pays-Bas, de l’Autriche, du Danemark, de la Suède, de la Finlande et de la Hongrie. Si certains hauts fonctionnaires de ces pays pensent dans ce sens, Bruxelles à du mauvais sang à se faire. A titre d’exemple, Marine Le Pen, leader du Front National et Luigi Di Maio, vice-président de la Chambre basse du parlement italien on évoqué, en cas d’élection, la mise en place d’un référendum identique à celui organisé en Grande-Bretagne. Le premier ministre hongrois a, quant à lui, réitéré que le « brexit » constituait un signal fort indiquant que l’UE avait besoin de changement. Même la chancelière allemande, Angela Merkel, a admis que le « brexit » était un tournant dans le processus d’unification européenne. Les britanniques ne sont, effectivement, pas les seuls à se plaindre de certaines politiques, notamment en matière d’immigration, imposées par Bruxelles.