ACtualites du marche des changes

unemployment

L’EUR/USD en légère baisse après la bonne surprise du chômage américain

La monnaie unique européenne baissait légèrement en début d’après-midi, perdant environ 30 pis par rapport à son niveau d’hier soir suite à la bonne nouvelle des inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis.
En effet, les inscriptions ont diminué plus que prévu par les analystes lors de la semaine du 15 janvier, passant par rapport à la semaine précédente de 441 000 à 404 000 selon le département du Travail. Les économistes s’attendaient une baisse mais nettement moins prononcée à 420 000 inscriptions.
Cet indicateur a également permis au billet vert de retrouver des couleurs face au yen, gagnant près de 70 pis à 82.70 yens par rapport au niveau de la veille.
Pour autant, la hausse récente du dollar pourrait rapidement tourner court selon les investisseurs. Il faudra encore attendre cet après-midi la publication de l’indice de la Fed de Philadelphie pour savoir si le dollar réussira aujourd’hui à consolider ses gains face à l’euro et à la monnaie nippone.
La monnaie unique européenne baissait légèrement en début d’après-midi, perdant environ 30 pips par rapport à son niveau d’hier soir suite à la bonne nouvelle des inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis.
En effet, les inscriptions ont diminué plus que prévu par les analystes lors de la semaine du 15 janvier, passant par rapport à la semaine précédente de 441 000 à 404 000 selon le département du Travail. Les économistes s’attendaient une baisse mais nettement moins prononcée à 420 000 inscriptions.
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Les tendances des marchés financiers à l’ouverture de la session européenne

Les marchés financiers américains ont décliné hier et le dollar a continué à perdre du terrain face à l’euro et au yen. Les marchés asiatiques ont suivi la tendance esquissée par les Etats-Unis ce matin tandis que de nouvelles données économiques chinoises montrant une bonne tenue de la croissance laisse présager de nouvelles mesures de resserrement monétaire de la part de la banque centrale.
Aujourd’hui, le calendrier économique risque d’être peu chargé ce qui devrait inciter les investisseurs à tourner les yeux vers la crise de la dette en Europe.
Hier, les marchés actions américains ont perdu du terrain, principalement suite à la baisse des profits du géant Goldman Sachs alors que les chiffres de l’immobilier ont montré que le secteur d’activité est toujours fragile. Au final, l’indice phare S&P500 a perdu 1% tandis que le Nasdaq reculait de 1.5%. Les marchés asiatiques ont suivi la tendance de Wall Street. Les indicateurs chinois publiés ce matin ont montré que le PIB a augmenté de 9.8% au quatrième trimestre 2010, ce qui devrait inciter la banque centrale à renforcer les mesures prises pour réduire les pressions inflationnistes. Cette nouvelle n’est clairement pas une bonne chose pour de nombreux pays asiatiques.
La session américaine d’hier fut également marquée par un évènement largement attendu par les économistes: la première hausse des taux de la banque centrale brésilienne depuis le début de l’année. Afin de contenir l’inflation, la banque centrale a décidé d’augmenter son taux directeur d’un demi-point, le portant à 11.25%, l’un des taux les plus élevés du monde. D’autres hausses devraient suivre au cours de l’année, portant les taux à 13% selon les analystes. Le real brésilien a profité largement de cette décision pour accumuler les gains face à l’USD.
Sur le marché des changes, le billet vert a continué à décliner très nettement. Après avoir passé la barre de 1.35 dollar après les chiffres de l’immobilier américain, le billet vert est repassé légèrement en dessous ce matin. Tendance similaire pour l’USD/JPY qui a testé le niveau de 82 yens hier mais qui est repassé dessous dans les échanges asiatiques. Les devises scandinaves, une fois n’est pas coutume, sont très stables face à l’euro.
Aujourd’hui, la question de la dette souveraine reste au coeur des préoccupations des marchés financiers en dépit de la réussite des émissions obligataires des PIIGS. Le calendrier économique est peu chargé aujourd’hui, avec essentiellement les inscriptions au chômage aux Etats-Unis et les ventes de maisons existantes qui devraient donner des indications intéressantes concernant le secteur immobilier. Enfin, la journée se terminera avec la publication de l’indice de la Fed de Philadelphie qui devrait donner des informations concernant l’état du secteur manufacturier américain.
En dépit d’une légère détérioration de l’appétit au risque, l’EUR/USD se maintient très bien sur le marché des changes. Notre rédaction est aujourd’hui LONG sur l’EUR/USD. A noter que l’euro n’est pas la seule devise qui a gagné du terrain face au billet vert récemment. Le yuan a également repris du terrain ce qui a pour effet un affaiblissement général de l’USD.
– Les marchés financiers américains ont décliné hier et le dollar a continué à perdre du terrain face à l’euro et au yen. Les marchés asiatiques ont suivi la tendance esquissée par les Etats-Unis ce matin tandis que de nouvelles données économiques chinoises montrant une bonne tenue de la croissance laisse présager de nouvelles mesures de resserrement monétaire de la part de la banque centrale.
– Aujourd’hui, le calendrier économique risque d’être peu chargé ce qui devrait inciter les investisseurs à tourner les yeux vers la crise de la dette en Europe.
Hier, les marchés actions américains ont perdu du terrain, principalement suite à la baisse des profits du géant Goldman Sachs alors que les chiffres de l’immobilier ont montré que le secteur d’activité est toujours fragile. Au final, l’indice phare S&P500 a perdu 1% tandis que le Nasdaq reculait de 1.5%. Les marchés asiatiques ont suivi la tendance de Wall Street. Les indicateurs chinois publiés ce matin ont montré que le PIB a augmenté de 9.8% au quatrième trimestre 2010, ce qui devrait inciter la banque centrale à renforcer les mesures prises pour réduire les pressions inflationnistes. Cette nouvelle n’est clairement pas une bonne chose pour de nombreux pays asiatiques.
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Les nouvelles économiques du 20 janvier 2011

La question de la dette souveraine est toujours au coeur de l’actualité. D’après l’hebdomadaire Die Zeit, le gouvernement de Berlin envisage sérieusement un plan de restructuration de la dette grecque qui permettrait à Athène de racheter sa propre dette via le Fonds européen de stabilité financière.
Le Japon a également décide de s’attaquer enfin à sa dette publique qui flirte les 200% de son PIB. En effet, le nouveau ministre de la politique budgétaire a énoncé son intention d’établir un plan clair de réforme fiscale qui aurait pour mission d’augmenter les recettes d’impôts afin d’éviter le creusement de la dette.
Point enfin sur la Tunisie qui est en plein changement de régime depuis la fuite du président Ben Ali. L’agence de notation financière Moody’s a dégradé de Baa2 à Baa3 la note souveraine du pays en raison des incertitudes économiques et politiques. D’autres agences de notation devraient faire de même pendant les prochains jours. Par ailleurs, les cotations à la Bourse de Tunisie sont toujours suspendues jusqu’à nouvel ordre. Au cours de la semaine dernière, en raison des troubles, le Tunis SE Tunindex a perdu près de 13% de sa valeur. Toutefois, nombreux sont les analystes qui soulignent que les trente deux valeurs qui composent l’indice sont largement manipulées.
La question de la dette souveraine est toujours au coeur de l’actualité. D’après l’hebdomadaire Die Zeit, le gouvernement de Berlin envisage sérieusement un plan de restructuration de la dette grecque qui permettrait à Athènes de racheter sa propre dette via le Fonds européen de stabilité financière.
Le Japon a également décide de s’attaquer enfin à sa dette publique qui flirte les 200% de son PIB. En effet, le nouveau ministre de la politique budgétaire a énoncé son intention d’établir un plan clair de réforme fiscale qui aurait pour mission d’augmenter les recettes d’impôts afin d’éviter le creusement de la dette.
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Goldman Sachs a fait chou blanc sur le marché des changes

La sulfureuse banque d’affaires américaine Goldman Sachs a plombé hier Wall Street à l’occasion de la publication de ses profits au 4ème trimestre.
La banque maîtresse de Wall Street n’a enregistré un bénéfice net que de 2.23 milliards de dollars soit une chute de moitié du bénéfice par rapport à la même période l’an passée. Par action, la banque s’en sort à peine, cela représentant 3.79 dollars soit seulement 3 cents de mieux que ce que le marché prévoyait.
La banque américaine met cette contre-performance sur le dos des conditions difficiles de marché. Pourtant, en 2009, la banque d’affaires avait enregistré un bénéfice record, en pleine crise économique et financière.
Il n’y a qu’un pas pour affirmer que la banque n’est pas aussi performante en période de reprise économique qu’en période de grave crise financière et économique mondiale.
La firme a surtout échoué sur trois secteurs clés: les marchés des taux, des changes et des matières premières. Au total, ses revenus sur ces créneaux ont chuté de 48% par rapport à l’année dernière. La banque d’affaires qui est connu pour ses investissements astucieux n’a jamais enregistré de très bonnes performances sur le marché des changes, ne parvenant pas à détrôné Deutsche Bank qui maîtrise très bien ce marché.
La sulfureuse banque d’affaires américaine Goldman Sachs a plombé hier Wall Street à l’occasion de la publication de ses profits au 4ème trimestre.
La banque maîtresse de Wall Street n’a enregistré un bénéfice net que de 2.23 milliards de dollars soit une chute de moitié du bénéfice par rapport à la même période l’an passée. Par action, la banque s’en sort à peine, cela représentant 3.79 dollars soit seulement 3 cents de mieux que ce que le marché prévoyait.
La banque américaine met cette contre-performance sur le dos des conditions difficiles de marché. Pourtant, en 2009, la banque d’affaires avait enregistré un bénéfice record, en pleine crise économique et financière.
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L’euro s’installe au-dessus de 1.35 après les mises en chantier aux USA

Flash info – Comme prévu par notre rédaction ce matin, l’euro a rebondi au-dessus de 1.35 dollar suite à la publication d’indicateurs américains concernant le secteur de l’immobilier.
Vers 15h, l’euro s’échangeai à 1.3520, à quelques pis de son plus haut de la veille.
Le secteur immobilier a envoyé des signaux contrastés aux Etats-Unis en fin d’année. Bien que les permis de construire ont bondit de 16.7% à 635000, les mises en chantier ont affiché un recul conséquent, de 4.3% à 529000 selon les chiffres communiqués par le département du commerce américain.
Au final, l’activité dans la construction sur un an reste très mauvaise, avec une baisse de 8.2% des mises en chantier et de 6.8% des permis de construire.
L’euro, dans ce contexte, a toutes les chances pour se renforcer durablement au-dessus de 1.35 dollar en cette fin de semaine de trading.
Flash info – Comme prévu par notre rédaction ce matin, l’euro a rebondi au-dessus de 1.35 dollar suite à la publication d’indicateurs américains concernant le secteur de l’immobilier.
Vers 15h, l’euro s’échangeait à 1.3520, à quelques pis de son plus haut de la veille.
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Forex

L’embellie sur le marché obligataire donne des couleurs à l’euro

En ce mercredi, la monnaie unique européenne est en excellente forme, confortant ses gains à la fois face au dollar américain et face au yen. En milieu de matinée, l’euro a même réussi l’exploit de passer un court moment au-dessus de la barre symbolique de 1.35 dollar. Un nouveau regain de l’euro n’est pas à exclure face au billet vert en raison des inquiétudes pesant sur la croissance économique américaine.
Peu d’indicateurs japonais d’importance aujourd’hui, l’euro a ainsi pu continuer sa hausse, s’inscrivant désormais largement au-dessus de 110 yens. Il est probable que la devise européenne grimpe au-dessus de 111 yens dans les jours à venir. Il y a moins de 30 pips qui la sépare de ce niveau en fin de matinée.
L’euro a été porté aujourd’hui par une baisse très nette de la pression sur le marché obligataire européen, qui s’est répercutée sur le marché des devises. Alors que la Russie a rejoint le Japon et la Chine, pays qui souhaitent acheter des obligations européennes émises par le Fonds de stabilité de la zone euro, l’Allemagne et le Portugal ont brillamment réussi leurs opérations obligataires ce matin, rappelant au bon souvenir des investisseurs les succès de la semaine passée. Sans difficulté, l’Allemagne a levé 4.9 milliards d’euros de bons du Trésor pour une opération qui a suscité un véritable engouement des investisseurs. Le taux moyen de cette opération était de 1.17%. Le Portugal a levé de son côté 750 millions d’euros en bons du Trésor à 12 mois. Cette opération fut un total succès pour Lisbonne puisque la demande fut 3.1 fois supérieure à l’offre, soit nettement mieux que lors de l’opération similaire en décembre et les taux ont connu une très nette baisse. En effet, le taux moyen fut de 4.029% contre 5.281% lors de l’opération de décembre. Ce succès devrait permettre au Portugal d’obtenir un répit auprès des investisseurs alors que les analystes prédisent que le pays sera le prochain à faire appel à l’aide de Bruxelles et du FMI.
Enfin, le billet vert fait toujours grise mine, alors que les inquiétudes persistent concernant l’activité économique. Le marché spécule en ce moment sur une baisse du dollar, anticipant une chute importante des mises en chantier de logements outre-Atlantique en décembre. Le secteur immobilier américain est l’une des clefs de redémarrage de l’économie américaine et il a été durement touché par la crise des subprimes. L’indicateur qui doit être publié cet après-midi à 14H30 pourrait même faire franchir de nouveau le pallier de 1.35 à l’euro.
Pour conclure, un mot rapide sur la rencontre entre Obama et Hu Jintao à Washington qui a conduit le président américain à appeler la Chine à faire plus d’efforts dans l’appréciation de sa devise. Pékin a alors répliqué que les américains doivent respecter la souveraineté des pays étrangers…Selon certains économistes, les américains souhaitent que le yuan s’apprécie plus rapidement car cela aurait pour effet mécanique d’affaiblir le billet vert de manière générale sur le marché des changes. Cela permettrait aux Etats-Unis d’exporter davantage notamment.
En ce mercredi, la monnaie unique européenne est en excellente forme, confortant ses gains à la fois face au dollar américain et face au yen. En milieu de matinée, l’euro a même réussi l’exploit de passer un court moment au-dessus de la barre symbolique de 1.35 dollar. Un nouveau regain de l’euro n’est pas à exclure face au billet vert en raison des inquiétudes pesant sur la croissance économique américaine.
Peu d’indicateurs japonais d’importance aujourd’hui, l’euro a ainsi pu continuer sa hausse, s’inscrivant désormais largement au-dessus de 110 yens. Il est probable que la devise européenne grimpe au-dessus de 111 yens dans les jours à venir. Il y a moins de 30 pips qui la sépare de ce niveau en fin de matinée.
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Fiche technique sur l’enquête Tankan

L’enquête Tankan est formulée par la Banque du Japon (BoJ). Il a été formulé la première fois en 1957 et constitue une vaste enquête portant sur l’évolution de l’activité des entreprises japonaises. Il est publié tous les trois mois, le 1er jour suivant la fin du trimestre, et concerne au total plus de 10 000 entreprises japonaises. Les entreprises interrogées sont classées en fonction de leur activité et de leur taille.
L’enquête Tankan dresse ainsi un tableau fidèle de l’économie dans l’archipel, en s’intéressant notamment aux perspectives d’investissement et d’embauche. Plusieurs points sont évoqués lors de cette enquête, notamment les conditions d’accès au crédit pour les entreprises ou encore les conditions financières et les capacités de production.
Cependant, c’est surtout le sentiment sur l’environnement économique qui fait l’objet de toute l’attention des marchés financiers. A certains égards, ce point se rapproche beaucoup de l’indice Ifo.
Si le sentiment sur l’environnement économique est positif, c’est-à-dire supérieur à 0, cela signifie que les entreprises japonaises considèrent que l’environnement économique s’améliore, ce qui laisse entrevoir une hausse des embauches et surtout de l’investissement. Si l’indice est inférieur à 0, à l’inverse, cela signifie que l’environnement économique se détériore et si il est égal à zéro, cela signifie qu’il n’y a pas de changement significatif.
L’enquête Tankan fait l’objet d’un écho assez important sur le marché des changes lors de sa publication. Toutefois, il ne faut pas exagérer son impact sur les changes et notamment sur le yen. En effet, le yen est surtout influencé par la politique monétaire de la BoJ et les stratégies de carry trade. Non pas réellement par les indicateurs macroéconomiques japonais.
L’enquête Tankan est formulée par la Banque du Japon (BoJ). Il a été formulé la première fois en 1957 et constitue une vaste enquête portant sur l’évolution de l’activité des entreprises japonaises. Il est publié tous les trois mois, le 1er jour suivant la fin du trimestre, et concerne au total plus de 10 000 entreprises japonaises. Les entreprises interrogées sont classées en fonction de leur activité et de leur taille.
L’enquête Tankan dresse ainsi un tableau fidèle de l’économie dans l’archipel, en s’intéressant notamment aux perspectives d’investissement et d’embauche. Plusieurs points sont évoqués lors de cette enquête, notamment les conditions d’accès au crédit pour les entreprises ou encore les conditions financières et les capacités de production.
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Les nouvelles économiques du 19 janvier 2011

Selon les chiffres communiqués par la Banque d’Espagne, le taux de créances douteuses des banques espagnoles, qui est un indice de leur vulnérabilité, a encore progressé en novembre dernier, atteignant 5.68% soit son plus haut niveau depuis janvier 1996. En octobre 2009, ce taux n’était que de 4.98%. Depuis l’éclatement de la bulle immobilière à la fin de l’année 2008, la situation des banques espagnoles inquiète beaucoup les milieux financiers.

Au niveau des indicateurs, le moral des analystes et des investisseurs outre-Rhin est en bonne forme en janvier selon l’institut ZEW. En effet, l’indice du sentiment des investisseurs a grimpé à 15.4 contre 4.3 en décembre alors que les économistes n’anticipaient une hausse qu’à 6.8. L’indice distinct sur le sentiment vis à vis des conditions actuelles a également affiché une bonne performance à 82.8.

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