Election d’un nouveau gouverneur central en Lituanie
Le Parlement de Lituanie a approuvé la nomintation de Vitas Vasiliauskas, âgé de seulement 37 ans, au poste de gouverneur de la banque centrale. Ce
Le Parlement de Lituanie a approuvé la nomintation de Vitas Vasiliauskas, âgé de seulement 37 ans, au poste de gouverneur de la banque centrale. Ce
L’agence Standard & Poor’s a fait le grand ménage hier en abaissant les notes de la dette de la Grèce et de la dette du Portugal. La note de la Grèce a été déclassée de deux crans, de BB+ à BB-, sachant qu’elle pourrait être encore déclasser d’un ou deux crans dans le futur. Pour le Portugal, la note a été abaissée d’un cran, à BBB- contre BBB, et mise sous perspective négative. La note du pays figure désormais un cran seulement au-dessus de la catégorie spéculative.
– Le yen victime des spéculateurs et de la crise nucléaire
– Les propos de James Bullard font leur effet sur les taux de change
Actualité très chargée hier pour les principales devises du marché des changes. Le yen, qui est toujours sous pression à cause de la crise nucléaire qui perdure, mais qui ne fait plus la Une de l’actualité française, et les spéculations autour de prochains relèvements monétaires dans plusieurs pays, a atteint un plus bas niveau depuis près de dix mois face à l’USD et a également perdu beaucoup de terrain face à l’EUR en dépit des mauvaises nouvelles qui se sont accumulées dans la zone euro. Le yen est donc apparu un peu sous pression, pression qui ne devrait pas s’apaiser dans les prochains jours selon les experts de forex.fr.
Décision fut prise par Brasilia d’imposer une taxe de 6% sur les ventes et prêts d’obligations internationales ayant une maturité pouvant aller jusqu’à un an selon le décret officiel publié hier. Les entreprises paient déjà une taxe de 5.38% sur les prêts allant jusqu’à 90 jours mais aucune taxe n’existe pour les opérations qui vont au-delà.
Ce mouvement du Brésil n’est pas unique en soi pusique de très nombreux pays, notamment en Amérique latine, qui achètent des dollars afin de freiner l’appréciation de leur devise ont augmenté les taxes sur les achats d’obligations par les étrangers. Le ministre des Finances du Brésil, Mantega, avait d’ailleurs inscrit ce contexte particulier dans une « guerre des devises » dont le Brésil serait l’une des principales victimes. A l’instar du Brésil, la Corée du Sud a pris il y a quelques semaines des mesures similaires.