Dans un entretien paru hier dans le quotidien allemand Handelsblatt, le prix Nobel Joseph Stiglitz a appelé la BCE à baisser ses taux directeurs qui sont actuellement à 1.5% après deux hausses au printemps afin de relancer la croissance dans l’EuroZone et aussi de freiner la hausse de la monnaie des 17.
A juste titre, comme Stiglitz l’a souligné, “la politique monétaire actuelle de la BCE fait grimper l’euro et fait du mal aux exportateurs allemands”.
Etant donné le contexte économique défavorable, les économistes s’attendent dans leur ensemble à ce que la BCE joue la carte de l’attentisme au moins jusqu’à la fin de l’année, laissant ses taux inchangés alors que l’inflation est en décrue, mais toujours au-dessus du niveau cible de l’institution.
Dans un entretien paru hier dans le quotidien allemand Handelsblatt, le prix Nobel Joseph Stiglitz a appelé la BCE à baisser ses taux directeurs qui sont actuellement à 1.5% après deux hausses au printemps afin de relancer la croissance dans l’EuroZone et aussi de freiner la hausse de la monnaie des 17.
A juste titre, comme Stiglitz l’a souligné, “la politique monétaire actuelle de la BCE fait grimper l’euro et fait du mal aux exportateurs allemands“.
Etant donné le contexte économique défavorable, les économistes s’attendent dans leur ensemble à ce que la BCE joue la carte de l’attentisme au moins jusqu’à la fin de l’année, laissant ses taux inchangés alors que l’inflation est en décrue, mais toujours au-dessus du niveau cible de l’institution.