ACtualites du marche des changes

Soyons clair, depuis cet été, nous sommes clairement en plein dans une nouvelle période de défiance. Les entreprises ne licencient peut-être pas encore en masse mais il suffit de jeter un oeil sur les indicateurs macroéconomiques ou les indices boursiers pour comprendre que la crise est de retour.

Tout le monde n’ayant pas les moyens de Warren Buffett, il convient de gérer avec sagesse son argent en attendant que la tempête passe. Voici 10 conseils à destination des investisseurs pour ne pas perdre tout votre argent avec la crise:

Conseil n°1

Ne pensez plus en termes de “gains” mais en termes de “réduction des pertes”. Oubliez les profits faciles qu’ont pu offrir les Bourses il y a quelques années car il n’y aura pas de profits faciles à moins d’une injection massive de liquidités dans le système ce qui n’est pas encore sûr pour le moment.

Conseil n°2

Prenez du recul par rapport à tout ce que vous lisez. Rappelez-vous que les médias recherchent le sensationnel, la rumeur qui fera vendre. L’épisode d’une faillite de la Grèce ou encore les rumeurs sur le secteur bancaire européen sont souvent largement infondées. Gardez un esprit critique vis à vis des informations véhiculées qui sont souvent peu corroborées.

Conseil n°3

Gardez confiance en l’or. Plus les marchés seront inquiets pour l’avenir, plus l’or risque de voir son cours augmenter.

Conseil n°4

Rappelez-vous qu’avant quasiment tout trend haussier final de l’or, une correction technique de grande ampleur risque de se produire.

Conseil n°5

Cette fois-ci, il n’y aura peut-être pas de trend haussier final pour l’or parce que certains groupes d’intérêt importants risquent de ne pas vouloir vendre leur or, considérant qu’un rebond de la crise n’est pas exclu.

Conseil n°6

Diversifiez votre portefeuille d’investissement! Choisissez d’autres moyens pour continuer à gagner de l’argent en étudiant des possibilités d’investissement qui ont déjà fait leurs preuves, comme le Forex.

Conseil n°7

Gardez votre sang-froid lorsque vous voyez des publicités à la TV ou sur internet qui vantent tel ou tel moyen de gagner de l’argent facilement. Encore plus que d’habitude, il est devenu très difficile de faire fructifier de l’argent ces derniers temps.

Conseil n°8

Gardez une stratégie de long terme! Avec des dividendes en-dessous de 2.5%, détenir des actions peut semble décourageant mais, tôt ou tard, elles vont remonter.

Conseil n°9

C’est en achetant que vous pourrez gagner de l’argent! Achetez lorsque les prix sont bas vous garantit presque toujours de bons rendements dans le temps.

Conseil n°10

Les Bourses souffrent et tout particulièrement Wall Street. Quand Wall Street souffre, les banques ont tout naturellement tendance à venir avec de nouvelles idées. Cependant, ces idées sont souvent très risquées (en témoignent les subprimes). Soyez très sceptique vis à vis de tout nouveau produit financier en ce moment!

Soyons clair, depuis cet été, nous sommes clairement en plein dans une nouvelle période de défiance. Les entreprises ne licencient peut-être pas encore en masse mais il suffit de jeter un oeil sur les indicateurs macroéconomiques ou les indices boursiers pour comprendre que la crise est de retour.

Tout le monde n’ayant pas les moyens de Warren Buffett, il convient de gérer avec sagesse son argent en attendant que la tempête passe. Voici 10 conseils à destination des investisseurs pour ne pas perdre tout votre argent avec la crise:

Ne pensez plus en termes de “gains” mais en termes de “réduction des pertes”. Oubliez les profits faciles qu’ont pu offrir les Bourses il y a quelques années car il n’y aura pas de profits faciles à moins d’une injection massive de liquidités dans le système ce qui n’est pas encore sûr pour le moment.

Hier, la séance fut marquée par les conséquences de la réunion du FOMC de mercredi.

Dans la foulée des indices européens, la monnaie unique européenne a atteint un plus bas depuis le 14 février dernier face au dollar, à 1.3448, et un plus bas depuis juin 2001 face au yen, à 102.62.

Sur le plan macroéconomique, plusieurs indicateurs ont contribué au repli sur les valeurs refuges, notamment la publication de l’indice PMI des directeurs d’achats pour la zone euro. Ainsi, selon l’enquête, l’activité du secteur privé s’est contractée en septembre pour la première fois depuis plus de deux ans, en chutant sous 50, à 49.2 contre 50.7 en août.

Plusieurs déclarations et commentaires ont également joué défavorablement pour la monnaie des 17. Une étude co-rédigée par J. Stark, l’économiste en chef démissionnaire de la BCE, a souligné que l’euro est en danger en raison des dépenses incontrôlées des Etats de la zone euro. “Les déséquilibres budgétaires en très forte hausse dans la zone euro dans son ensemble et la situation extrême de certains pays pris individuellement risquent de saper la stabilité, la croissance et l’emploi, de même que la pérennité de l’Union économique et monétaire (UEM) elle-même”, peut-on lire. Le document, qui n’est pas approuvé officiellement par la BCE, a aussi appelé à des sanctions financières automatiques pour les pays dont le déficit dépasse les 3% du PIB.

Enfin, les milieux financiers semblent de plus en plus lucides sur l’avenir de la zone euro et plus spécifiquement de la Grèce, bien que les politiques se voilent encore la face. Lors d’une interview sur RTE, le président des opérations internationales de Goldman Sachs a souligné que la situation en Grèce constitue une menace grave pour l’euro en raison des risques de contagion et qu’une restructuration plus radicale que celle engagée de la dette du pays est nécessaire. “Je crois qu’il est inévitable qu’une période de restructuration drastique sera nécessaire en Grèce”, -t-il affirmé. “Il y a déjà eu une forme de restructuration pour les porteurs d’obligations. Je pense qu’il est inévitable que cela deviendra plus sérieux avec le temps parce que l’endettement de la Grèce augmente de manière exponentielle.”

Hier, la séance fut marquée par les conséquences de la réunion du FOMC de mercredi.

Dans la foulée des indices européens, la monnaie unique européenne a atteint un plus bas depuis le 14 février dernier face au dollar, à 1.3448, et un plus bas depuis juin 2001 face au yen, à 102.62.

Sur le plan macroéconomique, plusieurs indicateurs ont contribué au repli sur les valeurs refuges, notamment la publication de l’indice PMI des directeurs d’achats pour la zone euro. Ainsi, selon l’enquête, l’activité du secteur privé s’est contractée en septembre pour la première fois depuis plus de deux ans, en chutant sous 50, à 49.2 contre 50.7 en août.