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ACtualites du marche des changes

2009-09-07-bundestagpropertyposter

Les marchés financiers attendent le vote allemand en fin de matinée

Les nombreux indicateurs macroéconomiques de la journée sont passés en arrière-plan aujourd’hui alors que les marchés attendent avec une certaine fébrilité le résultat du vote allemand sur l’élargissement des pouvoirs du FESF.
Début des pourparlers au Bundestag
Depuis 9h, heure de Paris, les députés allemands de la Chambre basse ont commencé à débattre de l’élargissement du FESF sur lequel ils doivent se prononcer en fin de matinée. Selon les propos du chef du groupe conservateur Volker Kauder, la loi correspondante devrait être approuvée à une large majorité. Ainsi, l’Allemagne deviendrait le 11ème pays à se prononcer, juste au lendemain du vote positif de la Finlande. Ce vote devrait offrir une nouvelle impulsion au processus, en attendant que six autres pays européens, dont la Slovaquie, ne se prononcent. En ligne de mire, une aide de 8 milliards d’euros pour la Grèce.
Afin de connaître en temps réel le résultat du vote du Bundestag, suivez notre rédaction en cliquant ici.
Point sur l’EURUSD
L’EURUSD n’a pas impacté jusqu’à présent la chute faible des indices européens et notamment du CAC 40 puisque le cross s’affiche en hausse mais évoluant toujours dans une bande de fluctuation très étroite. A 10h, l’EURUSD atteignait 1.3658, soit une hausse par rapport à son niveau d’ouverture à 1.3521.
Les investisseurs du marché des changes anticipent une bonne nouvelle venant de Berlin donc il va falloir s’attendre à une hausse du cross en fin de matinée qui pourrait lui permettre d’atteindre 1.3690, première résistance pour la paire. En cas de cassure de cette résistance, la paire pourrait par la suite grimper jusqu’à 1.3746.
Il faudra toutefois faire attention à la répartition des votes au Bundestag qui devrait donner une très bonne idée de la marge de manoeuvre de la chancelière allemande pour la suite des évènements.
Une correction technique de l’EURUSD est ensuite à prévoir car, comme souvent, après une bonne nouvelle, les marchés vont corriger ce qui pourrait ramener la paire vers son principal support, à 1.3364.
Données macroéconomiques
Au niveau macroéconomique, la séance risque d’être chargée. Elle fut ouverte par la publication du taux de chômage en Allemagne qui a chuté à 6.9%, son plus bas niveau depuis la réunification du pays il y a 20 ans. Cette nouvelle a certainement offert un certain soutien à l’EURUSD.
Pour cette fin de matinée, il faudrait faire attention à 11h à la confiance des consommateurs qui est attendue stable. Après-midi américain ensuite avec à 14h30 une pléiade de données dont le PIB qui est prévu à 1.2%, en hausse, et les nouvelles demandes hebdomadaires d’allocation-chômage.
Les nombreux indicateurs macroéconomiques de la journée sont passés en arrière-plan aujourd’hui alors que les marchés attendent avec une certaine fébrilité le résultat du vote allemand sur l’élargissement des pouvoirs du FESF.

Début des pourparlers au Bundestag

Depuis 9h, heure de Paris, les députés allemands de la Chambre basse ont commencé à débattre de l’élargissement du FESF sur lequel ils doivent se prononcer en fin de matinée. Selon les propos du chef du groupe conservateur Volker Kauder, la loi correspondante devrait être approuvée à une large majorité. Ainsi, l’Allemagne deviendrait le 11ème pays à se prononcer, juste au lendemain du vote positif de la Finlande. Ce vote devrait offrir une nouvelle impulsion au processus, en attendant que six autres pays européens, dont la Slovaquie, ne se prononcent. En ligne de mire, une aide de 8 milliards d’euros pour la Grèce.
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David-Cameron

La Grèce n’est pas le seul endroit où l’austérité a échoué…

Bien que le Royaume-Uni n’ait pas un problème avec sa dette de l’ampleur de la Grèce (ce qui n’a pas empêché le Premier ministre Cameron d’exprimer ses craintes que le Royaume-Uni ne devienne la prochaine Grèce), les efforts engagés au cours des deniers mois par le 10 Downing Street se sont avérés être un échec cuisant.
En dépit de sérieuses coupes dans les dépenses, le déficit continue d’augmenter comme le souligne le tableau ci-dessous. Le rapport dette nette du secteur public/déficit s’est considérablement aggravé en août 2011 par rapport à août 2010 selon les données officielles.
La Banque d’Angleterre au secours d’une économie moribonde?
Si le gouvernement envisage sérieusement de prolonger l’austérité, la BoE s’inquiète plutôt de son côté de l’état de l’économie britannique. Le compte-rendu de la réunion de politique monétaire des 7 et 8 septembre laisse entendre que l’institut d’émission va se lancer de nouveau dans des injections de fonds dans l’économie, pour un montant de 50 milliards de livres sterlings. Seule voix discordante, celle d’Adam Posen.
La division du comité de politique monétaire d’il y a quelques mois a volé en éclat avec le renouveau de la crise.
Au moins, l’économie britannique risque de respirer un peu mieux avec ces injections de liquidités mais la crise reste et demeure. Tant que la zone euro ne sera pas sauvée, le Royaume-Uni ne sera pas tranquille.
Bien que le Royaume-Uni n’ait pas un problème avec sa dette de l’ampleur de la Grèce (ce qui n’a pas empêché le Premier ministre Cameron d’exprimer ses craintes que le Royaume-Uni ne devienne la prochaine Grèce), les efforts engagés au cours des deniers mois par le 10 Downing Street se sont avérés être un échec cuisant.
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grece

Jour J pour la Grèce!

C’est aujourd’hui que les parlementaires allemands doivent voter sur la Grèce. Un “Oui” est évidemment largement attendu ce qui devrait ouvrir la voie au versement de 8 milliards d’euros au pays hellénique.
Depuis hier, de nombreuses rumeurs et informations de presse ont été communiquées sur la situation en Grèce, certaines parmi les plus fantaisistes. Bild a ainsi annoncé que Berlin s’attend à une faillite du pays avant Noël tandis qu’un quotidien d’informations économiques français annonçait le même jour que Berlin prépare un plan secret pour venir en aide à Athènes.
Autre information de presse venant du quotidien grec Naftemporiki, la participation du secteur privé à un programme d’échange de dette souveraine grecque aurait atteint l’objectif fixé par le gouvernement de 90% alors qu’elle n’était que de 75% il y a encore quelques semaines.
En dépit d’inquiétudes persistantes, les responsables européens ont voulu jouer la prudence et rassurer. Ainsi, le chef de la Commission Européenne, José Manuel Barroso, a reconnu que la crise de la dette est “le plus grande défi de l’histoire” de l’UE mais a affirmé que la Grèce “est et restera dans la zone euro”, ajoutant que “les pays européens continueront de se montrer solidaires avec Athènes”.
De son côté, Angela Merkel n’a pas voulu se prononcer sur l’éventualité d’une renégociation des modalités du deuxième plan d’aide à la Grèce, préférant attendre que l’audit mené par la troïka à Athènes soit terminée. Elle a toutefois reconnu sa déception après la publication des chiffres du déficit budgétaire en septembre.
Suivez en direct avec forex.fr l’évolution de la situation en Grèce en cliquant ici!
C’est aujourd’hui que les parlementaires allemands doivent voter sur la Grèce. Un “Oui” est évidemment largement attendu ce qui devrait ouvrir la voie au versement de 8 milliards d’euros au pays hellénique.
Depuis hier, de nombreuses rumeurs et informations de presse ont été communiquées sur la situation en Grèce, certaines parmi les plus fantaisistes. Bild a ainsi annoncé que Berlin s’attend à une faillite du pays avant Noël tandis qu’un quotidien d’informations économiques français annonçait le même jour que Berlin prépare un plan secret pour venir en aide à Athènes.
Autre information de presse venant du quotidien grec Naftemporiki, la participation du secteur privé à un programme d’échange de dette souveraine grecque aurait atteint l’objectif fixé par le gouvernement de 90% alors qu’elle n’était que de 75% il y a encore quelques semaines. Cette information n’est pas encore officielle.
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