Calendrier économique du Forex
Avoir une stratégie est certes bien mais faut-il encore l’adapter en fonction des nouvelles économiques qui peuvent influer sur le marché des changes. Ainsi, il
Avoir une stratégie est certes bien mais faut-il encore l’adapter en fonction des nouvelles économiques qui peuvent influer sur le marché des changes. Ainsi, il
Finalement, la particulièrement mauvaise prestation du ministre des Finances japonais, à l’issue de la réunion du G7, aura eu fort de lui puisqu’il a été contraint d’annoncer aujourd’hui sa démission. C’est un nouveau coup dur pour le gouvernement japonais qui est de plus en plus critiqué, notamment au sujet de sa gestion économique de la crise, l’une des plus graves depuis la Seconde Guerre Mondiale.
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La réunion du G7 ce week-end en Italie n’aura, une nouvelle fois, pas abouti à des propositions concrètes. En effet, outre le fait de rappeler son rejet du protectionnisme, les ministres des Finances présents ont rappelé, comme dans le communiqué de décembre, leur préoccupation au sujet de la forte volatilité du yen qui pèse beaucoup sur l’économie nippone. Aucune référence n’a été en revanche faite au sujet de la forte dépréciation de la livre sterling qui a failli frôler fin décembre la parité avec la monnaie unique européenne.
A l’heure actuelle, il semble presque impossible de déceler une tendance de fond sur le marché des changes. En effet, le climat d’incertitude a brouillé les cartes durant toute la semaine. Même le dollar, qui pourtant profite d’habitude de son statut de valeur refuge, a suivi une trajectoire inattendu, ce qui a poussé certains analystes du marché des changes à clamer haut et fort que le yen est désormais la seule valeur refuge avec l’or.
Avec la crise, les autorités s’efforcent de contrôler de plus en plus fermement le monde financier. Les brokers en font les frais puisque les octrois
En dépit du vote acquis à une voix près d’un vaste plan de relance économique d’un montant de plus de 42 milliards de dollars australiens aujourd’hui par le Sénat, la devise australienne subit toujours le contre coup de la forte incertitude sur le marché des changes, qui pénalise également le dollar néo-zélandais et la livre sterling.
Pour trader sur le marché des changes, il est important de suivre l’actualité de près, notamment en s’abonnant à une source d’information en temps réel.
Malgré l’aversion pour le risque résultant des déceptions liées au plan d’aide américain, le franc suisse n’a pas fait l’objet d’une forte demande, contrairement à ce qui se passait dans le passé. En fait, le franc suisse ne peut plus vraiment prétendre au statut de valeur refuge sur le marché des changes depuis la forte dégradation de l’économie helvétique, qui pousse les investisseurs à se reporter notamment sur le yen et le dollar. En effet, l’économie de la Suisse est touchée de plein fouet par la crise économique avec une menace de déflation qui pèse sur elle. La Banque Nationale Suisse commence d’ailleurs à songer à un recours massif à des mesures d’assouplissement quantitatif afin de faire face à la situation. La perte massive annoncée par la première banque du pays, UBS, lors de l’exercice du quatrième trimestre, n’a évidemment pas fait l’affaire du franc suisse qui s’affiche toujours affaibli en ce jeudi matin face à l’euro et au dollar.
Le résultat des élections législatives israéliennes a davantage fragilisé le shekel face au dollar sur le marché des changes, s’affaissant en dessous de 4,04 shekels pour un dollar contre un peu plus de 4,05 lundi, du fait de l’incertitude quant au nom du futur premier ministre. En effet, Tzipi Livni, dont la liste a remporté un courte avance sur son rival du Likoud, s’est félicitée de sa victoire tandis que Benjamin Netanyahu a affirmé au même moment qu’il allait entamer une discussion avec les autres partis du camp nationaliste, dont le très convoité Avigdor Lieberman, leader du parti Israel Beitenou, afin de former le nouveau gouvernement. Les tractations ont déjà commencé dans les deux camps afin de mettre sur pied une coalition pouvant réunir au moins 61 sièges à la Knesset mais, d’après les spécialistes, Benjamin Netanyahu tient la corde pour le moment.