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ACtualites du marche des changes

Topman UK

Les nouvelles économiques du marché des changes du 18 février 2013

Selon l’ONS, les ventes au détail au Royaume-Uni ont accusé un repli de 0.6% en janvier sur un mois, renforçant les craintes de nouvelle récession dans le pays. Sur un an, les ventes ont également chuté de 0.6%.

Au niveau de la zone euro, petite lueur d’espoir avec un excédent du commerce extérieur qui a atteint 81.8 milliards d’euros en 2012 contre un déficit de 15.7 milliards en 2011 selon un première estimation.

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Américains et Japonais sortent vainqueurs du G20 de Moscou

Deux faits ont influencé les échanges sur le marché monétaire cette semaine: le thème de la “guerre des devises”, avec en toile de fond les réunions du G7 et du G20, et la dégradation continue de l’économie de la zone euro qui s’enfonce dans une récession plus importante qu’on ne l’estimait auparavant.

Les chiffres du PIB au quatrième trimestre pour la zone euro sont tous ressortis en territoire négatif, ratant le consensus. Le PIB de la zone euro au T4 a décliné de 0.6% et ceux de la France et de l’Allemagne, pays core de l’Union, n’ont pas non plus été épargnés. Pire, on redoute désormais que la récession se poursuive avec une estimation initiale de baisse du PIB pour les 17 de l’ordre de 0.2% voire 0.3% sur l’année 2013 et qui pourrait être révisée à la baisse au cours des prochains mois.

La croissance a donc refait son apparition sur le devant de la scène financière. Ce fut d’ailleurs un des thèmes du G20 mais qui fut largement éclipsé par la question des taux de change. Contrairement aux attentes, le communiqué final du G20 ne va pas reprendre les termes de celui du G7 qui avait notamment souligné que les politiques monétaires ne doivent servir que des objectifs nationaux. Dans un premier temps mal interprété, ce communiqué visait en fait clairement la politique suivie par le Japon qui a conduit à une baisse du yen depuis novembre presque sans précédent. Ceux qui ont pu l’anticiper, comme Soros qui affirme avoir gagné près d’un milliard de dollars en trois mois, ont évidemment gagné le jackpot.

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Le marché prend ses gains sur l’EURJPY avant que le G20 n’évoque le cas japonais

Hier, les marchés financiers ont été ébranlés par une vague de mauvais chiffres macro-économiques venus d’Europe. Les chiffres de croissance de la production domestique en zone euro montrent que le Vieux-Continent s’enfonce dans la récession. L’année 2012 est la première année depuis 1995 où aucun trimestre de croissance n’est enregistré. La France et l’Allemagne, les deux économies les plus résilientes, montrent des signes de difficultés économiques croissantes. Commentant ces données, le membre autrichien de la BCE a annoncé ce matin que la récession dans la zone euro pourrait se poursuivre au rythme de -0.2% voire -0.3% cette année au fur à mesure que le décalage s’accentue entre le Nord et le Sud de la zone.

Seule bonne nouvelle au niveau de l’euroland aujourd’hui, l’excédent du commerce extérieur a atteint 81.8 milliards d’euros l’an passé contre un déficit de 15.7 milliards en 2011. Pour le mois de décembre, cet excédent se monte à 11.7 milliards.

Cependant, la baisse de l’euro face au yen ce matin s’explique davantage par l’actualité nippone et la perspective du G20 que par ces chiffres européens qui, pourtant, sont globalement inquiétants. En effet, le yen s’affiche en hausse du fait de la possible nomination de Toshiro Muto comme chef de la Banque du Japon (BoJ). L’homme est connu pour ses positions conservatrices et serait donc peu enclin à mener une politique monétaire ultra-accommodante pour relancer la croissance dans le pays. Cette nomination devrait être officialisée d’ici quelques jours et paraît en contraction avec les objectifs pourtant annoncés par le gouvernement japonais depuis décembre.

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L’état du marché des changes avant le sommet du G20 de Moscou

Malgré un calendrier économique bien rempli, avec de nombreux indicateurs américains à partir de 14h30, le marché des changes se focalise essentiellement sur la réunion du G20 à Moscou qui a déjà assez influencé sur le cours des principales devises.

Le yen est notamment la monnaie au coeur de toutes les préoccupations puisque c’est elle qui a provoqué quelques sueurs froides du côté des dirigeants français au cours des derniers jours. Comme on pouvait l’attendre, le yen s’est renforcé ce matin face à ses principales contreparties. Les cambistes affichent une relative prudence car le G20 pourrait vraisemblablement soutenir le communiqué de mardi du G7 qui appelait à limiter l’impact sur les taux de change des politiques monétaires, message qui visait directement la Banque du Japon.

Cependant, le G20 n’est pas le seul élément qui entraine le yen à la hausse. En effet, le successeur de l’actuel gouverneur de la banque centrale japonaise pourrait avoir une approche différente selon Bloomberg et moins compter sur les assouplissements monétaires. Il pourrait s’agir d’un membre déjà en place au sein de la banque centrale, Toshiro Muto. L’annonce de la nomination devrait être effective d’ici quelques jours. Il convient de garder un certain recul face à ses spéculations car, comme le cas du gouverneur Carney l’a montré, les banquiers centraux semblent plutôt dans une phase de réflexion face aux moyens à mettre en oeuvre que dans une phase d’action.

La hausse du yen a en tout cas eu quelques effets positifs déjà visibles sur le marché des changes puisque le won sud-coréen s’affiche en fort rebond ce matin de 1.6% face au dollar américain. Les autres devises asiatiques sont aussi en hausse comme le ringgit de 0.3% et le peso philippin de 0.2%. Cette hausse est la conséquence de fuites au sujet du communiqué final du G20 qui devrait appeler à ne pas soutenir les politiques de dévaluation compétitive.

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Les nouvelles économiques du marché des changes du 15 février 2013

Hier, le PIB de la zone euro au quatrième trimestre de l’année 2012 a été publié, en déclin de 0.6% contre une baisse estimée auparavant à 0.4%. La récession est donc beaucoup plus importante que prévu. Surtout, on a appris que le PIB italien a aussi connu une chute surprise de 0.9%.

Au Japon, sur la même période, le PIB a également chuté, de l’ordre de 0.1% alors que les cambistes attendaient une hausse de 0.1%. Cette mauvaise nouvelle devrait encourager encore plus le gouvernement Abe à prendre de nouvelles mesures de relance.

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NZD dollar_no-zlandais

Cette devise a été la plus forte au cours de la semaine mais il ne faut surtout pas l’acheter!

L’attention des cambistes ne s’est pas portée ces dernières séances uniquement sur la “guerre des devises” internationale. Non. Les investisseurs se sont aussi enquis de la très bonne performance depuis le début de la semaine du dollar néo-zélandais (NZD). Beaucoup de cambistes ont trouvé dans ce dollar un intérêt certain à cause de son taux de rendement qui reste encore relativement attractif et qui constitue une bonne alternative face à un dollar australien (AUD) qui est à la traîne depuis le début de l’année et continue de baisser sur le forex.

Cependant, les récents gains du dollar néo-zélandais doivent inciter fortement à la prudence. On peut même affirmer que cette performance récente est en grande partie injustifiée. Bien qu’il soit vrai que les données publiées cette nuit peuvent encourager le renforcement du NZD, les statistiques des jours précédents n’expliquent en rien la bonne tenue de la devise face à ses principales contreparties.

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G20 Moscou

Forex – Que faut-il attendre du G20 de Moscou?

Le G20 est l’évènement du marché des changes cette semaine. Depuis lundi, les discussions vont bon train entre responsables politiques et banquiers centraux au sujet du taux de change des principales devises.

Le thème de la “guerre des devises” qui s’est imposé tout naturellement lors de la réunion du G7 devrait également être au coeur des discussions du G20 à Moscou demain.

Les banquiers centraux refusent tous d’accorder du crédit à une éventuelle guerre internationale des taux de change et affirment que les politiques monétaires actuellement mises en oeuvre ont simplement des motivations économiques intérieures et le respect des objectifs d’inflation. Lors de son passage en Espagne pour rencontre le chef du gouvernement Mariano Rajoy, Mario Draghi a levé tous les doutes en déclarant qu’il n’y a pas de “guerre des devises”.

Il n’en demeure pas moins que les médias continuent d’évoquer allègrement le sujet et que les cambistes ne peuvent faire l’abstraction de celui-ci dans leurs stratégies de trading.

Comme l’a évoqué un article du Financial Times, il est fort probable que les discussions à Moscou s’orientent au final, comme c’est souvent le cas lors de ces grandes messes internationales, sur les déséquilibres commerciaux entre les principaux pays membres du G7 et la Chine dont nul n’a de doute sur la manipulation du taux de change du yuan.

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production allemagne

Les nouvelles économiques du marché des changes du 14 février 2013

Hier, bonne nouvelle au niveau de la production industrielle en euroland avec une hausse mensuelle de 0.7% en décembre contre un consensus qui était à peine de 0.2%.

Au niveau du Royaume-Uni, le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mervyn King, a affirmé que l’inflation allait augmenter sur le court terme et devrait rester au-dessus de la cible de 2% pendant encore au moins deux ans. Il a aussi mis en garde contre la faiblesse de la reprise économique. On remarquera qu’il a aussi promis de faire plus en matière de politique monétaire si nécessaire, tout en ajoutant qu’il existe des limites certaines à son efficacité. Il est fort probable de toute façon que ce soit son successeur, Mark Carney, qui les expérimente.

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drapeau amricain

Fiche technique sur le PIB américain

Le Produit Intérieur Brut américain ou PIB est la somme des valeurs ajoutées réalisées aux Etats-Unis par l’ensemble des secteurs d’activité (qu’on augmente des taxes et des droits de douane), indépendamment de la nationalité des entreprises.

La croissance du PIB américain est considérée comme l’indicateur par excellence de la performance et de la santé économique du pays. Cette information permet de calculer le PIB par habitant qui est aussi égale au revenu pas habitant, ce qui permet de mesurer le niveau de vie des Américains.

Cet indicateur est diffusé tout au long de l’année sous la forme d’un PIB Annualisé Trimestriel en dollars courants par le Département du Commerce américain. Cette donnée détermine le changement annualisé de l’inflation, moins la valeur ajustée des biens et services produits par l’économie. Le PIB Annualisé Trimestriel des Etats-Unis est un indicateur publié trimestriellement, environ 30 jours après la fin du trimestre.

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