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ACtualites du marche des changes

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Les « spreads » sur le forex

Le terme « spread » revient régulièrement lorsque l’on pratique le marché des changes. Il s’agit de l’écart en l’offre et la demande. En d’autres termes, le « spread » désigne l’écart entre le cours acheteur et le cours vendeur que propose un courtier forex. Il permet à ce dernier de se rémunérer sur les opérations que les clients passent sur la plateforme de trading.

Lorsque vous choisissez un courtier avec lequel travailler, vous devez impérativement choisir celui qui vous offrira les meilleurs « spreads ». Vous trouverez, pour cela, de nombreux articles sur le net qui vous proposent des tableaux comparatifs. Bien que très important, le « spread » n’est pas le seul élément à observer lorsque vous effectuez votre choix. Il faudra, en effet, être attentif aux délais d’exécution des ordres car certains courtiers vous offrent des « spreads » très serrés mais n’exécutent pas vos ordres au moment où vous le souhaitez.

Les facteurs influençant les « spreads »
Selon les brokers forex, le « spread » sera fixe ou variable. Notez également qu’il sera plus ou moins grand selon la paire traitée. En effet, plus une paire est liquide plus son « spread » est resserré. A l’inverse, plus la devise est exotique et plus son « spread » est important. Vous l’aurez donc compris, l’ampleur du « spread » dépend grandement de la volatilité du marché.

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Les troubles de l’exportation néo zélandaise

La balance commerciale de la Nouvelle Zélande connaît actuellement quelques troubles. Le rapport de juillet montre en effet, un déficit de 692 millions de NZD alors que les estimations le voyaient autour des 475 millions. Pire encore, les chiffres du mois de juin ont été revus à la baisse. Voyons dans cet article ce que cela cause sur la croissance économique du pays.

Les exportations ont donc chuté de 11,3% au cours du mois. Ce recul est principalement dû à la forte baisse des transactions relatives aux grumes de pin vers la Chine et non pas comme on l’attendait à cause des exportations de produits laitiers. D’ailleurs ces dernières ont augmenté au cours du mois de juillet avec un bond de 0,9%.
Notez, cependant, que ce cette légère hausse a été une surprise pour certains observateurs du marché dans la mesure où cette période de l’année a tendance à révéler des faiblesses dans la production de lait.

Rappelons que la Nouvelle-Zélande est fortement tributaire des ses exportations puisqu’elles représentent environ 30% de l’activité totale des échanges du pays. Le fait que les prix laitiers aient été en chute libre au cours des sept derniers mois, principalement en raison de la faible demande, n’est pas pour rassurer les perspectives futures.

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