Au Royaume-Uni, la consommation a rebondi le mois dernier de 0.6% en mensuel.
Aux Etats-Unis, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué lors de la semaine au 12 octobre, à 358 000 contre 373 000 la semaine précédente. C’est un chiffre supérieur à celui attendu par le consensus à 335 000.
D.I.S.C.I.P.L.I.N.E, le mot est lâché! C’est ce qui fait un bon trader forex en général. Tous les traders qui ont déjà plusieurs années d’expérience sur le marché des changes vous diront que c’est grâce à de bonnes pratiques et aux habitudes qu’on réussit à tenir sur le long terme face à un marché au demeurant toujours imprévisible et où il n’existe aucune recette miracle pour gagner, quoi qu’en disent les marchands de sables.
Toutefois, les bonnes habitudes ne doivent pas être un frein à l’expérimentation. En effet, sortir de sa zone de confort, comme ont coutume de dire les anglo-saxons, peut réserver parfois de bonnes surprises. A condition de ne pas se lancer tête baissée.
Cela ne veut pas dire qu’il faut s’écarter du jour au lendemain de son plan de trading ou quadrupler la taille de ses positions sur le marché. Non, cela signifie qu’il est possible de prendre quelques risques mesurés et définis à l’avance pour essayer non seulement d’affronter et de mieux connaître ses limites mais également pour éventuellement améliorer sa technique de trading. Agir ainsi permet d’acquérir souvent de nouvelles connaissances ou compétences qui seront d’une utilité indéniable par la suite.
Mais, sortir de sa zone de confort, ça se prépare! En effet, agir ainsi peut entraîner un stress émotionnel important et aboutir à des pertes si on n’y prête pas garde. Il suffit d’oublier de bien placer son stop loss sur une position importante, et on peut faire partir en fumée 10%, 20% voire 50% de son capital. D’où l’importance, comme c’est toujours le cas dans le trading en ligne, de bien se connaître pour savoir gérer ses émotions.
L’EURCHF est une des paires des devises que nous ne devons jamais oublier. Historiquement, les tendances que nous constatons sur cette paire sont bien définies et sans grande surprise. Depuis le début de l’année, elle fait preuve d’une tendance haussière dont l’objectif se situe pour le moment à 1.23775, un objectif qui aujourd’hui peut sembler loin mais qui ne l’est pas tellement.
C’est pour cette raison que nous devons nous demander quoi faire avec cette importante résistance qui tient depuis trois mois et qui pour le moment semble infranchissable.
Le meilleur conseil à donner aux swing traders, c’est de fermer tous les achats sur l’EURCHF jusqu’au niveau de résistance énoncé afin de prendre les profits et d’assurer la liquidité en cas de nouvelles opportunités sur le marché. Après, avec une confirmation de la possible rupture de la résistance, ils pourront de nouveau ouvrir les positions d’achats d’euros vers le franc suisse avec un stop bien positionné autour de 1.23620 et avec des objectifs très ambitieux, tels que 1.25730 par exemple.
L’univers économique n’est pas exempt d’indicateurs pour le moins surprenants. On sait ainsi que l’ancien chef de la banque centrale américaine, Alan Greenspan, regardait de près l’évolution des ventes de sous-vêtements masculins pour savoir dans quelle direction l’économie allait.
Plus ou moins dans le même registre, une étude très sérieuse de 2012 du professeur Tatu Westling de l’Université d’Helsinki a mis en lumière une corrélation entre la taille du pénis et la croissance économique.
Analysant des données à propos du PIB et la taille du pénis pour l’année 1985 dans 76 pays, le professeur Tatu Westling en déduit que les pays où la taille moyenne de l’organe sexuel masculin est dans la moyenne mondiale sont ceux qui ont les niveaux de croissance les plus élevés. En l’occurrence, on retrouve dans ce lot des pays comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada et la Suisse.
En considérant qu’un haut niveau de testostérone est associé à une prise de risque élevée, il explique la corrélation qu’il a démontré par le fait que l’organe sexuel masculin agit comme un intermédiaire dans cette prise de risque. Par conséquent, les pays qui ont un comportement pas suffisamment ou trop risqué ont des performances moins bonnes que ceux qui prennent des risques plus mesurés.
En euroland, l’inflation a fortement ralenti le mois dernier à 1.1% sur un an contre 1.3% le mois précédent. C’est donc très en-dessous du niveau de septembre 2012 qui était à 2.6%.
En Chine, bonne nouvelle puisque selon un panel d’économistes interrogés par l’AFP, la croissance chinoise s’est accélérée au troisième trimestre avec une prévision médiane de 7.8%. Le chiffre officiel du PIB sera annoncé par Pékin ce vendredi.
49.4% en septembre, c’est le taux d’inflation du Venezuela, première réserve de pétrole mondiale selon l’OPEP, et pays dirigé depuis 1998 par le chavisme. Le successeur d’Hugo Chavez, Nicolas Maduro, n’a pas réussi à stabiliser l’économie du pays qui est sur une pente glissante depuis plusieurs années. Les expropriations, signaux négatifs envoyés aux potentiels investisseurs étrangers, et les contrôles étroits sur l’économie et les flux de capitaux ont entraîné, sur fond de déficit abyssal lié au clientélisme électoral, des pénuries croissantes depuis la fin de l’année dernière.
Les journaux internationaux ont abondamment relayé ces informations, montrant les Vénézuéliens désespérément en quête de papier toilette ou encore de vin de messe. Des pénuries qui sont presque dignes des pays les moins avancés ou en conflit alors que le Venezuela possède des richesses naturelles sans pareil.
L’une des raisons pour lesquelles les nouveaux traders forex perdent souvent est qu’ils sont incapables de choisir la bonne unité de temps, ou timeframe, qui corresponde à leur stratégie d’investissement sur les devises.
Habituellement, les débutants vont souvent chercher à gagner un maximum d’argent en un minimum de temps et tomberont alors dans un écueil très répandu en choisissant des unités de temps d’une minute ou de cinq minutes. Ils vont toutefois rapidement se rendre compte qu’une telle technique de trading est vouée à l’échec.
Pour faire simple, les traders, en règle générale, privilégient une unité de temps lorsqu’ils étudiants les graphiques forex d’une heure. Cette unité de temps est suffisamment longue mais pas trop, permettant d’avoir suffisamment de signaux de trading. On considère qu’un graphique en H1 permet de mieux analyser le marché des changes, sans être dans la précipitation qui conduit inévitablement à des erreurs et des pertes.
En France, les prix à la consommation ont diminué en septembre de 0.2% sur un mois mais la hausse annuelle est de 0.9% Cette baisse est essentiellement liée à un phénomène saisonnier selon l’INSEE.
En Allemagne, l’indice ZEW a confirmé l’amélioration du moral des investisseurs allemands en octobre avec un indice qui est ressorti à 52.8 contre 49.6 le mois précédent. Il est à son plus haut niveau depuis avril 2010.
Vous n’avez certainement pas omis de noter la belle figure de continuation sur l’USDJPY qui a commencé il y a six mois et qui pourrait à moyen terme demeure tant que la politique monétaire promue par la banque centrale japonaise (BoJ) vise à affaiblir le yen sur le forex. Pour les cambistes qui se placent à long terme sur le marché des changes, et ils sont peu nombreux parmi nos lecteurs, il est conseillé de prendre position en se référant au triangle symétrique, dessiné par les supports à 92.57 et 93.8, autour des niveaux 96.10 à 97.00.
Au cours des dernières semaines, à quelques rares exceptions, notamment pour la France, les prévisions de croissance pour l’an prochain ont été revues à la baisse pour nombre de pays. En d’autres termes, comme il fallait justement l’attendre, la reprise sera poussive et fragile.
Pourtant, certains pays européens semblent encore tirer leur épingle du jeu, comme en témoigne l’évolution économique de la Pologne. Le FMI et la banque CITI viennent de relever les prévisions de croissance.
Prudent, le FMI anticipe cette année une croissance de 1.3% mais qui pourrait monter à 2.4% l’an prochain contre une estimation initiale de 2.2%. Cette santé économique est surtout la résultante d’une demande intérieure solide, et d’une inflation qui est contenue par les mesures de la banque centrale polonaise, permettant de sauver le pouvoir d’achat des consommateurs.
La banque CITI est un peu plus optimiste pour le pays avec une croissance qui pourrait même atteindre 3.1% contre une estimation auparavant à 2.8%. Seul risque baissier majeur pour la Pologne, l’évolution économique de la zone euro et la sortie de la récession qui s’annonce douloureuse. Peu de pays membres de l’Union monétaire peuvent se targuer de bons résultats économiques, à part peut-être l’Allemagne mais qui connait une fin d’année au ralenti.
