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ACtualites du marche des changes

2009_02_25_trader

L’imitation, nouvel outil pour les traders Forex

Sur le marché des actions les investisseurs sont habituellement récompensés pour leur originalité et pour leur flaire. Sur le marché des changes, rien n’est plus loin de la réalité.

De nombreuses recherches démontrent que les traders Forex – qui font près de 315 milliards de dollars de trades par jour – peuvent considérablement augmenter leurs gains en imitant tout simplement les traders les plus qualifiés. Plusieurs sites spécialisés dans le trading sur les devises offrent désormais la possibilité aux traders de faire cela.

La majorité de ces sites est gratuite, d’autres font payer une commission qui peut atteindre jusqu’à 20%. Selon une étude réalisée par l’Aite Group, plus de 50% des traders qui ont recours à des sites ou à des plateformes de trading qui leur permettent d’imiter les trades des autres investisseurs réalisent des profits, ce qui constitue un pourcentage plus important que si les traders n’ont pas recours à cette méthode.

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Les nouvelles économiques du 21 septembre 2011

Au niveau des indicateurs macroéconomiques, le sentiment économique en Allemagne s’est dégradé un peu moins que prévu ce mois-ci selon l’institut ZEW, tombant à -43.3 contre -45 attendu par les marchés. C’est toutefois le plus bas niveau atteint depuis décembre 2008. La composante des conditions actuelles a reculé de son côté à 43.6 points alors qu’elle était attendue à 40.0 points.
Par ailleurs, les prix à la production ont baissé le mois dernier pour la première fois depuis décembre 2009 avec une baisse de 0.3% sur un mois selon l’Office fédéral de la statistique en Allemagne. En glissement annuel, les prix à la production affichent une hausse de 5.5%.
Concernant la situation en Grèce, le ministère des Finances du pays a démenti hier catégoriquement tout projet de référendum sur le maintien ou non du pays dans l’EuroZone. Une source du ministère a déclaré à l’AFP que “cela n’a pas de sens”.
Enfin, selon des informations de back-office, la BCE a acheté de petites quantités de papier obligataire italien sur le marché ce matin, ces achats se concentrant principalement sur des obligations ayant pour maturité de cinq à dix ans. Avant cette intervention, le rendement des obligations italiennes à dix ans avait connu une hausse de 13 points de base à 5.72%, tandis que le spread avec les bunds allemands atteignait 397 pdb.
Au niveau des indicateurs macroéconomiques, le sentiment économique en Allemagne s’est dégradé un peu moins que prévu ce mois-ci selon l’institut ZEW, tombant à -43.3 contre -45 attendu par les marchés. C’est toutefois le plus bas niveau atteint depuis décembre 2008. La composante des conditions actuelles a reculé de son côté à 43.6 points alors qu’elle était attendue à 40.0 points.
Par ailleurs, les prix à la production ont baissé le mois dernier pour la première fois depuis décembre 2009 avec une baisse de 0.3% sur un mois selon l’Office fédéral de la statistique en Allemagne. En glissement annuel, les prix à la production affichent une hausse de 5.5%.
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Le TOP 10 des actions américaines qu’il faut vendre tant qu’il est encore temps

Goldman Sachs
Taux de retour sur cette année: -36.33%
Les difficultés juridiques de Goldman Sachs continuent de croître ce qui a contraint son PDG, Lloyd Blankfein, a embauché un avocat très renommé. Parmi les procédures en cours, celle de la FHFA mais aussi des enquêtes en Europe. Par ailleurs, la banque d’affaires qui a connu des succès retentissants pendant la crise des supprimes semble perdre du terrain au sein de la communauté des investisseurs qui commence à se méfier de ses méthodes.
Frontier Communications
Taux de retour sur cette année: -25.49%
Les résultats au deuxième trimestre furent particulièrement décevants, du fait d’un accroissement important des dépenses de fonctionnement et d’un conflit salarial en Virginie Occidentale. Le quasi-doublement des revenus de son PDG, Maggie Wilderotter a été peu apprécié par les investisseurs.
JC Penney Company Inc.
Taux de retour sur cette année: -22.16%
Depuis des années, la croissance de la société est faible car elle n’arrive pas à redonner un coup de jeune à sa marque. Les actions de JC Penney Company Inc ont grimpé à l’annonce du recrutement comme nouveau PDG de Ron Johnson mais les progrès risquent de prendre beaucoup de temps.
Pitney Bowes
Taux de retour sur cette année: -20.72%
En dépit de bons résultats trimestriels, le titre de Pitney Bowes n’arrive pas à décoller et affiche des performances constamment plus faibles que l’indice S&P 500. Le cours de l’action est également toujours plus faible que celui de ses concurrents.
Express Scripts Inc.
Taux de retour sur cette année: -16.11%
Les investisseurs restent très inquiets concernant l’avenir du groupe et sa capacité à finaliser le rachat de 29.1 milliards de dollars de Medco. Les doutes émis par la communauté financière portent notamment sur la possibilité que l’organe de régulation ne donne pas son approbation.
Salesforce.com
Taux de retour sur cette année: – 6.39%
Même les employés et le management du groupe n’y croient plus puisque selon plusieurs sources ils vendraient leurs actions. Ainsi, le PDG du groupe, Marc Benioff, aurait vendu chaque jour en 2010 plus de 10 000 actions du groupe. La société risque de perdre beaucoup de terrain sur le marché et risque de ne pas être en mesure d’affronter Microsoft.
Verizon Communications
Taux de retour sur cette année: -0.61%
Verizon accumule les difficultés depuis cette année, perdant du terrain sur le créneau de la téléphonie, et faisant face à une grève de 45 000 de ses employés depuis le 8 août dernier.
Johnson & Johnson
Taux de retour sur cette année: +1.6%
J&J qui représente 4.71% du portefeuille d’investissement de Warren Buffett fait face à une détérioration du secteur de la santé et à un accroissement de la concurrence de la part de Pfizer et Merck. Toutefois, si la tendance sur ce marché est plutôt à la vente, certains analystes s’attendent à un rebond, considérant que ces ventes sont prématurées. Prudence donc.
IBM
Taux de retour sur cette année: +13.78%
Les dépenses dans le domaine des Technologies de l’Information des entreprises et des gouvernements devraient se réduire sur le court terme ce qui devrait avoir un impact sur le titre IBM en Bourse. Par ailleurs, les économistes du Crédit Suisse ont revu à la baisse les estimations de profit du groupe, prenant en considération la crise économique actuelle.
Under Armour
Taux de retour sur cette année: +22.83%
Des problèmes dans la chaîne de production ont particulièrement impacté les résultats trimestriels de la société et les analystes s’attendent dans l’ensemble à de mauvaises ventes donc à des profits en baisse pour le deuxième semestre.
1. Goldman Sachs
Taux de retour sur cette année: -36.33%
Les difficultés juridiques de Goldman Sachs continuent de croître ce qui a contraint son PDG, Lloyd Blankfein, a embauché un avocat très renommé. Parmi les procédures en cours, celle de la FHFA mais aussi des enquêtes en Europe. Par ailleurs, la banque d’affaires qui a connu des succès retentissants pendant la crise des supprimes semble perdre du terrain au sein de la communauté des investisseurs qui commence à se méfier de ses méthodes.
2. Frontier Communications
Taux de retour sur cette année: -25.49%
Les résultats au deuxième trimestre furent particulièrement décevants, du fait d’un accroissement important des dépenses de fonctionnement et d’un conflit salarial en Virginie Occidentale. Le quasi-doublement des revenus de son PDG, Maggie Wilderotter, a été peu apprécié par les investisseurs.
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Les nouvelles économiques du 20 septembre 2011

Hier, l’administrateur délégué d’Intesa Sanpaolo, première banque de détail en Italie, a reconnu que le pays ne peut se permettre d’ignorer le risque de défaut même si l’Italie devrait être en mesure de résister à la crise si l’économie renoue avec la croissance.
Par ailleurs, le représentant permanent du FMI à Athènes a appelé la Grèce à des économies budgétaires supplémentaires, lors d’un colloque avec le ministre des Finances grecs. Il a notamment appelé à une réforme urgente de l’administration fiscale et a mis en garde le gouvernement grec contre “des impôts de plus en plus élevés” qui risquent tout simplement de brider le pouvoir d’achat de la population.
A noter aussi que selon les calculs du Financial Times, le Royaume-Uni devrait subir l’austérité pendant plus longtemps que prévu puisque les finances publiques devraient, cet automne, révéler un trou de 13.8 milliards d’euros, soit 25% de plus que prévu. Les données officielles ne devraient être communiquées que le 29 novembre prochain par le chancelier de l’Echiquier.
Enfin, la Bourse suisse a annoncé que le règlement en or des transactions boursières sera bientôt possible dans le pays grâce à la société Six Securités Services, soit une première mondiale. Concrètement, les clients désireux de régler des transactions boursières contre paiement en or devront disposer d’un compte en XAU (unité en or) auprès de l’entreprise. Ils devront également s’assurer que leur compte est bien approvisionné.
Hier, l’administrateur délégué d’Intesa Sanpaolo, première banque de détail en Italie, a reconnu que le pays ne peut se permettre d’ignorer le risque de défaut même si l’Italie devrait être en mesure de résister à la crise si l’économie renoue avec la croissance.
Par ailleurs, le représentant permanent du FMI à Athènes a appelé la Grèce à des économies budgétaires supplémentaires, lors d’un colloque avec le ministre des Finances grecs. Il a notamment appelé à une réforme urgente de l’administration fiscale et a mis en garde le gouvernement grec contre “des impôts de plus en plus élevés” qui risquent tout simplement de brider le pouvoir d’achat de la population.
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A notre sujet

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Les solutions de Dominique Strauss Kahn à la crise souveraine européenne

Hier, l’ancien directeur général du FMI, Dominique Strauss Kahn a donné une interview fleuve sur TF1 à l’occasion du 20h dont une partie fut consacrée à l’actualité économique et financière du moment. Niant que l’euro soit en difficulté, l’ancien leader international a toutefois reconnu que cette crise est l’un des défis les plus sérieux pour les générations actuelles, avec le défi écologique.
“Si nous ne réagissons pas vite, dans vingt cinq ans, l’Europe sera une terre de désolation, avec des hauts niveaux de taux de chômage et des systèmes de protection sociale à la dérive” a-t-il menacé.
Soulignant que les supprimes ne furent en réalité qu’un épiphénomène révélateur depuis 2008 de problèmes plus profonds, il a reconnu que la crise depuis trois ans “a montré que des économies qu’on croyait dominantes – les Etats-Unis, le Japon mais aussi l’Europe – n’étaient plus aussi dominantes que cela, qu’elles étaient gangrénées par la dette, qu’elles étaient déstabilisés par un système financier tout à fait hors de contrôle et qu’elles n’avaient plus le monopole de la technologies”, reprenant ainsi des idées déjà développées depuis plusieurs années par l’ancien ministre Hubert Védrine.
Dominique Strauss Kahn a toutefois souligné qu’il existe des solutions pour surmonter cette crise. Selon lui, il faut réussir à réduire la dette sans entraîner les économies dans la stagnation ce qui est pourtant en train de se produire dans plusieurs pays européens. Ce “chemin de crête est étroit et les gouvernements européens ont du mal à le suivre parce qu’ils ne veulent pas prendre la mesure de l’ampleur du problème” a-t-il ajouté devant son interlocutrice Claire Chazal.
Interrogé par cette dernière qui lui a demandé s’il “faudrait rayer purement et simplement la dette de la Grèce”, Dominique Strauss Kahn a reconnu que “c’est un peu l’idée”. Clairement, et c’est la première fois qu’un responsable international de haut niveau le reconnaît, les grecs ne seront pas en mesure de payer tout seul. Suivant l’exemple de la convergence monétaire avec l’euro, Dominique Strauss Kahn a plaidé pour une convergence monétaire où “tout le monde doit prendre sa perte, les Etats et les banques” compris.
Seul obstacle, le manque de courage et de réalisme des Etats et des leaders européens qui s’obstinent à repousser le problème à plus tard et mettent des mois interminables à mettre en place des décisions prises. Cependant, leur erreur est justement de croire que le temps politique avance au même rythme que le temps économique et financier. Mettant en exergue la lenteur des chefs d’Etat et de gouvernement européens à mettre en pratique les décisions du sommet du 21 juillet dernier, l’ancien chef du FMI a ainsi montré qu’une grande partie des évènements actuels sur les marchés financiers incombe à la lenteur décisionnel et aux hésitations des capitales européennes.
Hier, l’ancien directeur général du FMI, Dominique Strauss Kahn a donné une interview fleuve sur TF1 à l’occasion du 20h dont une partie fut consacrée à l’actualité économique et financière du moment.

Niant que l’euro soit en difficulté, l’ancien leader international a toutefois reconnu que cette crise est l’un des défis les plus sérieux pour les générations actuelles, avec le défi écologique.

Si nous ne réagissons pas vite, dans vingt cinq ans, l’Europe sera une terre de désolation, avec des hauts niveaux de taux de chômage et des systèmes de protection sociale à la dérive” a-t-il menacé.
Soulignant que les subprimes ne furent en réalité qu’un épiphénomène révélateur depuis 2008 de problèmes plus profonds, il a reconnu que la crise depuis trois ans “a montré que des économies qu’on croyait dominantes – les Etats-Unis, le Japon mais aussi l’Europe – n’étaient plus aussi dominantes que cela, qu’elles étaient gangrénées par la dette, qu’elles étaient déstabilisés par un système financier tout à fait hors de contrôle et qu’elles n’avaient plus le monopole de la technologies“, reprenant ainsi des idées déjà développées depuis plusieurs années par l’ancien ministre Hubert Védrine.
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Ce qu’il faut attendre de la réunion de la Federal Reserve…

Demain commencera une réunion exceptionnelle de deux jours du FOMC. Initialement, cette réunion ne devait durer qu’une seule journée mais elle fut étendue à deux pour des “discussions plus complètes”, selon les termes même de Ben Bernanke, portant sur les “mérites et coûts relatifs” des différents outils de stimulus monétaire restant à la disposition de la Fed.
La déclaration du FOMC doit être divulguée autour de 19h15, heure de Paris, mercredi.
En juillet dernier, durant son audition devant le Congrès, le patron de la Federal Reserve a réitéré qu’un nouveau cycle d’assouplissement monétaire (QE3) allait dépendre à la fois d’une détérioration supplémentaire de l’activité économique et de nouvelles pressions inflationnistes. “La possibilité demeure que la récente faiblesse économique s’avère plus durable que prévu et que les risques de déflation ressurgissent, obligeant un soutien de politique additionnel” avait-il déclaré.
Les récents rapports sur l’inflation ont montré une hausse de l’inflation core juste au-dessus de la cible de la Fed. Cela plaiderait contre un QE3. Cependant, le président de la Fed de Chicago, Charles Evans, a récemment souligné que la Fed ne doit pas oublier que son mandat est double et qu’elle devrait prendre des mesures:
“Quand le taux de chômage se maintient à 9%, nous ratons notre objectif d’emploi de 3 points de pourcentage. C’est tout aussi pire qu’une inflation à 5% avec une cible de 2% (…). Clairement, l’économie est plus faible que la Fed l’attendait, mais je suspecte qu’il y aura des disputes au sujet de l’inflation”.
Sans conteste, un QE3 est improbable ce mois-ci, mais pas impossible comme le font remarquer certains experts. Nombreux sont en fait les observateurs qui s’attendent ce mois-ci à ce que le FOMC annonce un changement de la composition de son bilan en étendant la maturité des actifs. Il est également possible que le FOMC annonce une réduction des taux d’intérêt payés sur les réserves excédentaires, à l’heure actuelle au taux de 0.25%.
Par ailleurs, la déclaration du FOMC a des chances de changer. Il est notamment probable que les prévisions concernant le taux de chômage soient revues à la hausse. Dans la déclaration d’août:
“le comité s’attend maintenant à un ralentissement de la reprise au cours des trimestres à venir (…) et prévoit que le taux de chômage ne diminuera que progressivement vers des niveaux que le Comité juge être compatibles avec son double mandat”.
En fait, beaucoup parmi les analystes pensent que le taux de chômage va augmenter de nouveau. Ainsi en est-il des experts de Goldman Sachs qui prévoient un taux de chômage de 9.3% au T4 et un maintien à 9.4% l’année prochaine.
Ce qui ne devrait pas changer en revanche, c’est la phrase clé suivante selon laquelle “les conditions économiques (…) sont susceptibles de justifier des niveaux exceptionnellement bas pour le taux des fonds fédéraux au moins jusqu’à la mi-2013”.
Demain commencera une réunion exceptionnelle de deux jours du FOMC. Initialement, cette réunion ne devait durer qu’une seule journée mais elle fut étendue à deux pour des “discussions plus complètes“, selon les termes même de Ben Bernanke, portant sur les “mérites et coûts relatifs” des différents outils de stimulus monétaire restant à la disposition de la Fed.
La déclaration du FOMC doit être divulguée autour de 20h15, heure de Paris, mercredi.
En juillet dernier, durant son audition devant le Congrès, le patron de la Federal Reserve a réitéré qu’un nouveau cycle d’assouplissement monétaire (QE3) allait dépendre à la fois d’une détérioration supplémentaire de l’activité économique et de nouvelles pressions inflationnistes.
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